All the cracks, they lead right to me,
And all the cracks will crawl right through me,
And I fell apart.



Juste un petit mot pour vous informer pour mes concours, quand même. Enfin... mes concours, que je repasse l'année prochaine.
J'ai échoué comme jamais je n'avais échoué auparavant dans ma vie, et en toute honnêteté, ça ne me fait pas plus mal que cela. Je veux dire, je suis déçue, je suis surprise également (c'est con mais je pensais au moins pouvoir avoir quelques écoles dans le top 10, mais je n'en ai qu'une, peut-être deux, et je ne veux pas y aller), mais malgré la légère déception, j'ai l'impression d'être blasée et de ne rien ressentir. Ce midi, certes, quand j'ai vu que je n'avais ni Rouen, ni Reims (mes écoles "limite" pour faire une troisième année), j'ai été un moment tentée de pleurer, mais c'est passé très vite.

Je ne sais pas si on peut appeler cela un échec. Ce n'est pas ma vie que j'ai joué là, c'est mon avenir, et alors ? J'ai encore une chance, et pas ma dernière si je tiens vraiment à intégrer une école de commerce (et une parmi celles-ci). Ce n'est pas un échec, c'est un sursis. C'est une mise en suspens.
Je sais que ma troisième année sera moins belle que ma deuxième, c'est inévitable, le garçon préféré (je le lui souhaite de tout mon cœur et de toute ma ferveur) va intégrer Grenoble (ou partira à Nice, mais je ne veux pas qu'il refasse une troisième année, même s'il sera avec sa petite amie, c'est trop difficile pour lui). Je pense (sans vraiment le vouloir) que ma troisième année sera également très solitaire, j'ai eu des états d'âme quelque peu incroyables durant mon année (K. a toujours été présent, mais Voisine et N. ont été des moments intenses de ma vie, alors que j'aurais préféré qu'ils soient continuels, et qu'ils ne me rendent pas aussi malade physiquement et moralement). Bien sûr que je voudrais du soutien, bien sûr que ça me ferait plaisir qu'une sorte de K. arrive dans ma vie. Mais ma priorité, ce sera mes cours, et je ne veux pas de quelqu'un qui ne comprenne pas cela.

Oui, je disais ne plus croire en l'amour, c'est juste que j'ai peur d'avoir mal à nouveau. Mais... là, oui, je me sens à nouveau prête à tomber amoureuse, je me sens à nouveau libre, maître de ce que je suis, de ce que je ressens.

De nombreuses questions restent en suspens. Pour entrer en cube dans un lycée, il faut monter un dossier, avec les notes de Première / Terminale / bac' (sachant que j'ai foiré mon bac' comme pas possible...), les notes aux concours blancs (je n'en ai gardé aucune...) et les résultats aux concours BCE / Ecricome. Miam. Mon dossier est pourri, je n'en suis pas fière du tout. Quant à mes notes, je veux bien croire qu'il s'agisse d'un accident mais comme je ne les ai pas encore eues, je ne sais pas...
De nombreux lycées me sont ouverts. Peut-être qu'ils me refuseront mais je veux les tenter, j'ai l'impression de revenir au moment du post-bac', quand je choisissais ma prépa'. J'ai beaucoup d'options en région parisienne, mes parents sont d'accord pour que je loue une chambre parce que si je ne le fais pas, j'ai des chances de rater ma deuxième année (encore une fois). En cube, l'important ce n'est pas le niveau de la prépa' parce que la prépa' ne fait pas l'élève (sinon, j'aurais réussi), mais c'est les professeurs, leur disponibilité, leur ouverture, leur passion, ce qu'ils sont capables de me transmettre. Je ne veux pas retomber sur un(e) prof' de maths qui me dégoûte tellement de la matière que je finis par en avoir peur, je ne veux pas retomber sur un(e) prof' d'HGGMC blasé et prompt à faire des digressions, je veux retomber sur un(e) prof' d'espagnol passionnée et douée dans ce qu'elle fait, je veux tomber sur un(e) prof' de philo' capable de me faire comprendre des choses.

Je suis exigeante, j'en ai conscience. Mais c'est mon avenir qui est en jeu... Je m'en suis détachée à cause de stupidités, je ne referai pas deux fois la même erreur.
Je ne sortirai plus pour manger tous les jours (enfin, j'essaierai... mais je ne pense pas que je tiendrai). Je m'octroierai maximum une sortie par semaine, et non deux ou trois. J'arrêterai de rencontrer des personnes (enfin, dans la mesure du possible) pour me concentrer sur les relations que j'ai déjà, et que j'aimerais développer. J'imprimerai la liste des bonnes volontés que j'avais prises début deuxième année. J'arrêterai de repousser les choses, ou de ne les faire qu'à moitié.
Si je ne réussis pas l'année prochaine, c'est que c'était mon destin, et j'aurais dû choisir une voie qui vampirise moins.

Je m'en voudrais si l'année prochaine, je n'étais pas admise à une école du top 6.

I'm dying, it hurts.

Mardi 14 juin 2011

J'ai tellement de choses à vous dire. Juste me rappeler à vous, simplement. Je ne vous oublie pas.

Mon problème de bouffe est revenu, j'ai l'impression d'être une grosse boulimique, c'est psychologiquement atroce. :/ Je ne veux pas développer mais les fast-foods et le manque de légumes sont présents pour témoigner (avec les pâtes et les pizzas et les glaces, aussi). Je me sens atrocement grosse mais surtout, j'ai un appétit d'ogresse qu'il va falloir que je canalise. (Mais d'aucuns me diront que c'est l'amour qui me rend ainsi, hahahaha, je ne crois pas en l'amour je vous rappelle.)

Je ne travaille plus du tout et ça me fait flipper. Les résultats d'admissibilité arrivent jeudi et j'ai un peu la trouille d'être prise nulle part.

K. me manque mais il est présent quand même, ce soir nous sommes allés boire une bière pour panser nos "problèmes de cœur", entre guillemets, 50 cL de bière y'a pas mieux pour essayer de dormir (avec un gâteau en guise de bouffe, maintenant, parce que je déprime un peu).

Je vous raconte tout ce qu'il y a à raconter plus tard, là, c'est un article pour passer le temps.

Didn't we say we had a deal?
Didn't I say how bad I feel?



J'ai eu une subite envie d'aller voir Mx. lundi aprèm' / soir, comme ça. Juste pour voir comment il allait, ce bougre. Et on parle un peu de sexe, forcément j'aime bien parler de Mc., et ça dérape un peu (rien que verbalement). Au début innocente, légère et probablement très exagérée, notre discussion finit par être personnelle. Sur nos goûts et nos pratiques personnelles.
C'est drôle de l'entendre échafauder des plans pour déterminer combien d'hommes une femme peut avoir sur elle. Nous sommes d'ailleurs arrivés au compte de sept, même si pour ma part je ne pense pas qu'on puisse réellement faire plaisir à autant de mecs à la fois en même temps. (Si vous voulez le détail, apparemment il y en aurait un dans chaque main, deux dans la bouche, deux dans le vagin, et un dans l'anus, voilà.) C'est drôle de l'entendre parler de sexe à plusieurs (orgiiiiie), d'homosexualité (j'ai avoué que oui, j'avais bien envie de faire l'amour avec une fille un jour, voilà je suis une débauchée :p, mais lui ça ne l'intéresse pas...), de gode ou vibromasseur (il ne comprend pas que je n'en aie point... pauvre p'tit loup), des formes de sexe masculin (et je confirme que les préjugés sur les Noirs... je les ai vérifiés sur une personne, au moins !), de l'âge de nos partenaires, de l'onanisme (il pratique presque tous les jours maintenant qu'il a le temps... coquin !), des pratiques """bizarres""" que nous avons expérimentées (pour moi, rien n'est bizarre dans l'amour, mais soit) (comme la sodomie ou la gorge profonde)...
 
Mx. est quelqu'un qui a une grande gueule. Il parle beaucoup plus qu'il n'agit... À en voir nos SMS échangés, en effet, c'est le cas. Mardi soir, soir des résultats d'admissibilité d'une certaine école, je lui demande s'il dort (dans le but de savoir s'il est admissible ou non, bien entendu). Il me répond qu'il refroidit sa bite dans une chope de bière après s'être masturbé en pensant à moi (sage pensée !). Nous continuons donc dans l'horreur et la drôlerie (avec des grandes allusions à notre discussion de lundi !), et malgré ses "Je suis sérieux pour une fois" répétés, je ne peux y croire.
Mais je l'aime bien quand même, ce coquin.
 
Aujourd'hui, je croise B., l'ex-Crush n° 2. On parle un peu, forcément j'ai envie de parler de Mc. (bis), donc... on évoque notre vision des relations. En réalité, c'est une manière pour moi de lui laisser entendre que je suis prête à le recevoir s'il veut de moi... C'est vrai quoi, j'aurais bien voulu batifoler (mais juste ça) avec lui au début de l'année ! Et je suis contente qu'on se dise tous les deux qu'on est trop investis émotionnellement dans la prépa' pour s'investir dans une relation amoureuse. Je ne sais pas si c'est vrai, je ne sais pas si je suis encore amoureuse de N. ou si je ne l'ai jamais vraiment été (même s'il me manque mais c'est peut-être notre relation amicale qui me manque). En tout cas, comme je n'ai pas rencontré la personne qui me donne envie d'arrêter de batifoler, je continue dans ma lancée. Je flirte en toute innocence.
Et je lui dis à quel point je n'aime pas me sentir jugée, quand je parle de Mc. je passe pour une salope... Et je lui demande de ne pas parler de mon "copain", de rester discret. Ce n'est pas que je n'assume pas, c'est que je préfère garder ma relation pour moi. Les autres... ce serait difficile. Déjà que certaines copines me disent que je vais me brûler les ailes, que les filles sont incapables de séparer amour et sexe... (Pour l'instant, je dois avouer que je me débrouille pas trop mal, qu'il ne me manque pas spécialement, que je me fais une pile de bons souvenirs.) Peut-être que B. accepte parce que... ?
Et la main chaude de B. sur ma cuisse (en partant) me fait terriblement penser à celle de Mc. lors de notre premier rendez-vous officiel... Sauf qu'il a plus ou moins l'habitude quand même, le B. !
 
J'aime, j'aime, j'adore parler de sexe avec des mecs, c'est toujours très agréable. Je me sens libre de parler de tout, sans censure, sans entendre "Mais c'est dégueulasse !", rien n'est dégueulasse dans le sexe, tout est naturel. C'est ce qui en fait un domaine inépuisable, au fond.
(J'aime faire l'amour.)
Une belle rencontre une nuit de mai. Des numéros échangés, un peu par hasard. Un SMS envoyé le soir même, "appelle-moi si tu veux boire un verre un jour" ou quelque chose du genre. Un autre SMS : "j'ai besoin de me changer les idées", et on se voit le soir même, le mercredi 25.
De là... j'arrive vingt minutes en retard (mais je le préviens, hein !), on va chercher de quoi boire à Monoprix (avec du pain et du jambon sec aussi), on se pose sur le Pont des Arts () et au début, nous sommes assez distants... puis il pose une main sur ma cuisse... puis je prends sa main pour marcher, arrivés pas trop loin du lycée je n'ai pas très envie de le quitter, alors nous allons boire un cocktail. Et là, sans que je ne comprenne trop comment, le premier baiser dure une éternité. Et après... on va chez lui. On court après le bus et on finit dans son lit, je ne me pose pas de questions, ça me semble si naturel. Le lendemain, je rentre, il est déjà 8 heures... je sèche donc le cours d'histoire !
 
Il m'envoie quelques messages le WE, ça me fait étrange à vrai dire. J'étais persuadée (bon...) qu'on ne se reverrait pas. Enfin, au fond, j'espérais que si, qu'on irait jusqu'au moment où je quitterais Paris.
 
On se revoit mardi 31, cinéma (Very Bad Trip 2), une demi-heure de retard pour ma part, on rentre encore chez lui, sauf que là je reste plus longtemps le matin. Le soir, c'est compromis, à cause du téléphone... Bref, je passe quand même une très bonne soirée.
 
Aujourd'hui, je savais qu'on ne pourrait pas aller chez lui (j'ai cours à 9 heures...). Nous sommes allés au parc Monceau (où nous avons flirté, heureusement qu'il ne parle pas français parce que le groupe de mecs derrière ont eu de ces réflexions, entre eux, bouuuh !), puis nous avons fait du shopping sur le boulevard Haussmann, mangé au Paradis du Fruit, et regardé Midnight in Paris (que j'avais déjà vu). Enfin, on s'est surtout bien amusé... Et après, retour rue Mouffetard, baisers légers en règle (on est en public, p*tain, c'est un coup dur ça)... et gros gros pelotage contre une barrière. J'avais tellement, tellement, tellement envie !
 
C'est un garçon très bien, vraiment. Je regrette qu'on n'ait pas plus de temps pour nous, qu'il ne nous reste que 10 jours. Je regrette de ne pas l'avoir connu plus tôt, avant de devoir partir de Paris et son retour en Allemagne.
Son accent est adorable. Il ne fait pas d'erreurs de français, ça me surprend vu qu'il ne le parlait pas avant de venir. Mais c'est quelqu'un qui apprend vite les langues, semblerait-il... (Et il utilise très bien sa langue aussi, mais c'est un autre débat.)
Il sent atrocement bon. C'est une odeur envoûtante. Je ne sais pas ce que c'est, mais...
Il est guitariste (je ne le savais pas avant aujourd'hui).
Il travaille dans la physique (j'ai dit que les scientifiques et les gros cerveaux m'attiraient ?).
Il se plie à mes envies, même les moins logiques. Pas de bisous trop prononcés en public, par exemple.
Il accepte mon indépendance, mon côté "je paie mes sorties", mon côté "je suis forte". Tout ce que je suis, en réalité, il l'accepte.
Il veut dire à son papa (qu'il n'a pas appelé pour la Fête des Pères...) que c'était de la faute d'une "très jolie Chinoise".
 
Je lui ai parlé de beaucoup de choses, de l'Ex, de mon envie de coucher avec une fille, et c'est quelqu'un de très ouvert, de particulièrement compréhensif. J'ai confiance, c'est dingue mais c'est le cas. Je ne devrais pas, je le sais, mais...
J'aurais pu dire encore plein de choses sur ce mec en CDD, ou sur ce sexfriend, mais non.

(Le titre, c'est ce qu'il m'a dit ce soir.)

Nobody said it was easy.

Dimanche 29 mai 2011

I was just guessing at numbers and figures,
Pulling your puzzles apart.
Questions of science, science and progress,
Do not speak as loud as my heart.


L'esprit humain peut si facilement occulter ce qui lui déplaît. Ou alors c'est moi et je suis réellement la reine du Déni. (Je ne crois pas que ce soit une faculté à admirer mais soit.)
Parfois, je croise N. encore, comme la dernière fois dans la cuisine des filles du couloir d'à côté (il a un problème avec la porcherie de notre cuisine et je le comprends tellement, moi aussi). Après coup, quand je le vois tenir son bouquin de Nietzsche, je me dis que c'est vraiment le mec parfait et que s'il était moins parfait, je me sentirai mieux.
 
Et bien longtemps après... je me rends compte que son absence ne me tue pas. Peut-être parce que je ne l'aimais déjà plus, ou alors je ne l'ai jamais aimé. Il se passe un truc bizarre et récurrent chez moi, que je vais essayer d'expliquer sans passer pour une fille pourrie gâtée qui ne sait pas ce qu'est l'amour (c'est peut-être le cas en réalité).
Quand j'ai été amoureuse de M. IP, ce qui a duré un moment sans qu'il ne me donne de réponse malgré mes constantes allusions, je le vivais bien. Et un jour, je me suis décidée à lui demander clairement, sauf que je n'étais déjà plus tellement amoureuse de lui quand je le lui ai demandé. C'est très déconcertant de le vivre et de s'en rendre compte, et encore plus d'aller jusqu'au bout par pur intellectualisme. Mais je ne pouvais pas lui expliquer que je ne ressentais déjà plus le même frisson et que tout s'était éteint, il n'aurait pas compris mon insistance.
 
Et j'ai la désagréable impression que le même scénario se répète en ce qui concerne N., c'est totalement dégueulasse (si je puis me permettre). J'ai l'impression d'être un robot qui ne fonctionne que d'une seule manière, selon un seul schéma, et qui est incapable de s'en détacher. Sauf que je n'ai toujours pas demandé à N. et que j'ai déjà programmé de l'embrasser un jour, un léger baiser sur ses lèvres, en guise de souvenir. Juste un souvenir, pas de promesse ni de déclaration d'amour. (La question du siècle, c'est, est-ce que je l'aime ?) Alors oui, K. aura beau louer mon indépendance, moi je maudis mon inconstance. J'aimerais savoir expliquer à N. le cheminement de mes pensées, la direction qu'ont pris mes sentiments, mais sans passer pour une illuminée.
Je vis très mal le fait de ne plus l'aimer alors que j'ai si longtemps montré le contraire. Et j'intellectualise, oui, alors j'ai vraiment envie d'aller jusqu'au bout de la démarche, sans bien me rendre compte si c'est parce que je l'aime ou parce que je refuse de me faire dominer par cette absence d'amour. Je ne veux rien regretter, mais si j'y pense, je pourrai tout aussi bien regretter de lui dire que je l'ai aimé (je l'ai probablement fait, non ?) au lieu de le lui cacher. Je ne sais pas, je ne sais plus rien, il est tellement troublant.
 
Plus le temps passe et plus je prends conscience du fait que tout est contre notre relation. Que nous sommes réellement incompatibles amoureusement sur de nombreux points. D'accord, c'est laisser beaucoup de place à la raison et très peu aux sentiments, mais il nous aurait été impossible de continuer sur le long terme.
Je reste persuadée qu'il aurait pu être un excellent ami si je n'avais pas été attirée par lui dès le tout début. Cette sorte de coup de foudre que j'ai intentionnellement réduit parce que je croyais pouvoir contrôler mon cœur. Mais une fois que j'ai eu cette pensée impure en tête, elle a pris tout le temps de se développer, de grandir, d'être alimentée. Et elle est devenue un arbre gigantesque dont j'ai du mal à arracher les racines. Mais je le fais tout de même.
C'est une personne qui a très peu de défauts. Vraiment.
Je ne sais pas citer nos incompatibilités, il est bien trop tard pour que j'y pense sérieusement. Mais la religion, la distance, pourraient en faire partie.
 
J'ai imaginé toute seule que je pouvais être amoureuse, et j'ai cru l'être. J'imagine toute seule que je l'ai imaginé, et ce sentiment s'estompe. Je constate avec effarement la distance que j'ai avec mes sentiments. J'observe avec suspicion l'incohérence dont je fais preuve.
Je croyais pouvoir quitter la Folie avec lui et pour lui, la vérité c'est qu'il m'y enfonce encore plus. Peut-être que j'ai quitté la Folie pour moi, et que j'ai voulu croire que c'était pour lui. Pour me donner une raison. La seule raison, c'est le temps.
J'ai 20 ans bientôt. Je suis grande. J'ai grandi.

Et il est deux heures du matin et je devrais aller dormir au lieu d'écrire des articles comme j'enfilerai un collier de perles.
(Le prochain est sur les compliments que j'ai reçus et Mc., promis.)

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