In her fantasy, there's plain to see
Just how it be, on me, backstrokin',
Sweat soaking.
Just how it be, on me, backstrokin',
Sweat soaking.
En une semaine, des choses peuvent s'en passer, tant que je regrette d'avoir laissé tomber mon blog pour me plonger dans le travail (chose que j'ai finalement peu faite).
En une semaine, on a le temps de voir un cœur chamboulé, retourné, amusé, bref, le mien, un peu surpris.
En une semaine, les bonnes nouvelles peuvent pleuvoir et les relations avec les gens se réaffirmer.
Je vais essayer de faire long, exhaustif et... pas trop lent. C'est que j'ai une journée chargée demain (que je raconterai ici aussi...) !
Définitivement out, l'Anglais. Je ne peux pas me permettre de courir derrière celui que certains estiment et d'autres pensent être un connard fini. Je crois que je fais partie de la première catégorie, mais on s'en fiche. Tout ce que je sais, c'est que je ne chercherai pas plus loin, parce que la réponse ne m'est pas indispensable, parce que je ne suis pas amoureuse de lui. Je ne suis même pas sûre d'accepter s'il vient vers moi. Je n'en sais rien, peut-être que je suis attirée, mais peut-être que ça suffit, peut-être pas, comment savoir ?
Elle, nom de Dieu !! Sa put*** de réflexion tout à l'heure m'a plus que soûlée. Pardon, mais elle n'a qu'à lire ma copie si elle veut, elle verra que tout ce que le prof' a dit, je l'ai noté, et que je n'ai pas eu ma note « à la gueule du client ». Ce n'était que du cours, bon sang ! Un cours s'apprend, oui, même la philo, surtout pour une interrogation écrite de notions et philosophes ! Même si je suis partie au bout d'une demi-heure, je l'ai fait en connaissance de cause. Je savais pertinemment que j'avais réussi ce bout de papier. Après, je ne vais pas en discuter avec elle, elle ne le mérite pas. Je voulais simplement pousser un coup de gueule que jamais elle ne lira (encore heureux pour elle...) !
Justement, j'ai l'impression que beaucoup de choses me réussissent, au lycée. Et je suis définitivement sûre que mes notes en littéraire surpassent mes notes en scientifique. Mauvais augure pour le bac', tout ça, mais je pense que j'aurais le temps de me rattraper. J'ai tout intérêt à commencer mes révisions maintenant, mais quelque chose me manque, comme la motivation.
J. Il ne cessera jamais de m'étonner, celui-là. Et de s'étonner lui-même. J'apprécie le connaître par petits morceaux, mais cela ne me renvoie que plus la vérité : je me sentirai étrange lorsqu'il ne sera plus là pour supporter mes délires et pour me parler de lui. Cela fait quelques mois seulement que je le connais, mais il sait beaucoup de choses sur moi. Je pense que la réciproque est vraie... Je profite de lui, honteusement. De sa présence. De ses sourires qui ne me font plus bondir, juste plaisir.
On me dit que je suis attirée par F.. Et puis quoi encore ? Franchement ! C'est aberrant, insensé ! Celui qui me l'a dit a essayé de se rattraper, bien sûr, parce qu'il disait me connaître, mais je crois que cela m'a profondément blessée et énervée. Comment expliquer aux gens qu'il n'y a pas de tension sexuelle entre nous ? De toute façon, ai-je réellement besoin de leur expliquer ? N'est-il pas préférable que moi, je sache, que ceux auxquels je tiens sachent ? Si je m'inquiète pour F., c'est par esprit maternel (triste à dire) et/ou amical. Ça me rappelle la philo et le cours de ce matin : "l'amitié, c'est être heureux par la présence ou le bonheur de l'autre". C'est exactement ça.
Comme l'amour, "c'est comme une drogue : dépendance et accoutumance". Immédiatement, cela m'a fait penser à J&J. Inévitablement, au vu de tous les sentiments qui en découlent...
Et M. IP. Qui recommence ses douces caresses durant le cours d'anglais. Cela m'apaise quelque peu, son contact, notre tension sexuelle. Là, il semble impossible de dire qu'il n'y en a pas. Lui parler de l'Anglais, mon attirance, inexpliquée ; éclaircir le fait que je ne sois plus amoureuse de lui-même. Évoquer à G. ma relation, qu'elle me dise qu'elle s'en doutait, qu'elle avait essayé d'œuvrer, qu'elle pensait qu'il n'était pas totalement réticent. Qu'il aurait juste peur de s'opposer à son frère, de lui dire qu'il veut être un homme. Peur de changer, parce qu'il sait qu'une relation le changera. Je trouve ces révélations tristes. Et dommage qu'elle ne m'en ait pas parlé plus tôt, ma petite G. qui l'avait vu dès le premier regard... Si j'avais su... si j'avais su, simplement ! Il voudrait d'une femme plus intelligente que lui, tout en craignant de se sentir inférieur face à elle. Je suis désolée de le dire, mais il peut toujours chercher longtemps une femme plus intelligente que lui... Et les femmes plus intelligentes ne se prendront pas au jeu de l'amour avec lui. Je ne sais pas ce que tout cela change. Cela me choque, pour sûr, je me sens un peu désolée pour lui et pour ce nous qui aurait pu exister.
Je ne me sens toujours pas capable d'aimer.
Bon courage en tout cas pour le boulot ( et dsl pour le roman qui me sert de commentaire ^^ )
Content de te relire...