Ma source d'inspiration, c'est toi. Je n'ai jamais eu l'impression d'écrire aussi bien que lorsque je pensais à toi. Je viens de relire les quelques e-mails rédigés et jamais envoyés. En tout cas, jamais à toi, toujours sur mon blog. Tu sais, les mots ne me manquent pas, j'en aurais des tas, des choses à te dire, à te faire comprendre. Des manières d'aimer, je n'en manque pas, et tu concentres tout. Tous ces essais infructueux, tous ces non-dits douloureux. Tous mes sourires masqués, toute ma mélancolie apparente.
Tu as été ma douleur pendant longtemps, et je crois que tu le restes encore. Tu m'as tout volé, tu m'as pris jusqu'à mon optimisme, tu m'as pris mon essence, et je ne t'en veux pas. Je crois même que j'en veux encore.
C'est malsain, nous deux. Tu le sais ? Moi non. Jamais tu ne me diras ce que j'attends.
Je ne sais pas ce que j'attends. Toi ? J'attends qu'entre nous, cela change, j'attends qu'on finisse par s'avouer la vérité. Je sais que je ne t'aime pas, mais merde, ça me fait chier. J'aimerais t'aimer, je crois.
En un an, je n'ai pas énormément changé. Tu sais. J'ai relu mes mots, j'ai relu mes états d'âme honnêtes. J'ai besoin de mon blog, pour cela. J'ai besoin de me relire et de voir que non, je n'ai presque pas évolué, de voir que oui, toi et moi, c'est toujours autant la merde, et tant qu'à faire, de ressentir.
Cela faisait longtemps que je n'arrivais plus à aimer, longtemps que je veux aimer à nouveau. Presque un an. Et toujours aucun résultat. Je serais injuste de dire que c'est de ta faute. Cela date d'avant toi et continuera après toi.
Mais le "après-toi" tarde à venir.
Il y a beaucoup d'incertitudes en moi, sur ce que je ressens vraiment, comme tu peux le lire, avec mes nombreux « je crois ». J'ai du mal avec moi. Comment se supporter lorsqu'on n'est même pas capable de se détacher d'une amitié tendancieuse ? Comment se supporter lorsqu'on s'est abaissé à un niveau inimaginable de mépris ? Je me méprise moi-même de ne pas avoir su me maîtriser et d'avoir cherché un substitut pour mon cœur, alors que je n'ai besoin que d'amitié(s). J'ai voulu chercher les bras d'autres, mais je me suis désistée au dernier moment, incapable de me lancer dans une telle aventure.
Tu vois, moi aussi je suis lâche.
Moi aussi je refuse de faire face à la vérité.
Merde. Merde, merde, je ne peux plus.
Je suis certaine que si je devais aimer quelqu'un, ce serait toi.
Et en ce moment, c'est la meilleure déclaration d'amour que je puisse faire.
Pour ne pas changer, c'est un e-mail pour lui, que j'évite de lui envoyer.Tu as été ma douleur pendant longtemps, et je crois que tu le restes encore. Tu m'as tout volé, tu m'as pris jusqu'à mon optimisme, tu m'as pris mon essence, et je ne t'en veux pas. Je crois même que j'en veux encore.
C'est malsain, nous deux. Tu le sais ? Moi non. Jamais tu ne me diras ce que j'attends.
Je ne sais pas ce que j'attends. Toi ? J'attends qu'entre nous, cela change, j'attends qu'on finisse par s'avouer la vérité. Je sais que je ne t'aime pas, mais merde, ça me fait chier. J'aimerais t'aimer, je crois.
En un an, je n'ai pas énormément changé. Tu sais. J'ai relu mes mots, j'ai relu mes états d'âme honnêtes. J'ai besoin de mon blog, pour cela. J'ai besoin de me relire et de voir que non, je n'ai presque pas évolué, de voir que oui, toi et moi, c'est toujours autant la merde, et tant qu'à faire, de ressentir.
Cela faisait longtemps que je n'arrivais plus à aimer, longtemps que je veux aimer à nouveau. Presque un an. Et toujours aucun résultat. Je serais injuste de dire que c'est de ta faute. Cela date d'avant toi et continuera après toi.
Mais le "après-toi" tarde à venir.
Il y a beaucoup d'incertitudes en moi, sur ce que je ressens vraiment, comme tu peux le lire, avec mes nombreux « je crois ». J'ai du mal avec moi. Comment se supporter lorsqu'on n'est même pas capable de se détacher d'une amitié tendancieuse ? Comment se supporter lorsqu'on s'est abaissé à un niveau inimaginable de mépris ? Je me méprise moi-même de ne pas avoir su me maîtriser et d'avoir cherché un substitut pour mon cœur, alors que je n'ai besoin que d'amitié(s). J'ai voulu chercher les bras d'autres, mais je me suis désistée au dernier moment, incapable de me lancer dans une telle aventure.
Tu vois, moi aussi je suis lâche.
Moi aussi je refuse de faire face à la vérité.
Merde. Merde, merde, je ne peux plus.
Je suis certaine que si je devais aimer quelqu'un, ce serait toi.
Et en ce moment, c'est la meilleure déclaration d'amour que je puisse faire.
Je sais qu'un jour, quand tout sera encore plus compliqué entre nous, je trouverai la force de lui envoyer tous ces mots.
Pas aujourd'hui.