Because you saved my life once...
Je n'y arrive plus, je suis désolée.
Je n'arrive plus à écrire ici. Je n'arrive plus à écrire tout court.
Je n'arrive plus à traîner ici, à lire vos blogs, à laisser des commentaires.
Et au fond, ça m'embête beaucoup. De me faire happer par le travail de cette manière. De ne plus avoir d'énergie le soir pour taper quelques mots, sur aucun de mes blogs.
D'avoir P. au fond du cœur mais pas dans la tête (ou serait-ce le contraire ?). De ressentir tout cet élan d'amour pour K., de l'amour amical. ( Je refuse l'idée d'être tombée amoureuse durant ce processus, c'est faux. ) D'avoir M. quand ça ne va pas, et en ce moment ça ne va pas.
Cette semaine a mal commencé, avec des pleurs inattendus pendant 20 bonnes minutes, lundi, le soir, au moment de me coucher. Et elle a mal finie, avec des larmes totalement malvenues en cours d'anglais, vendredi, des petites larmes silencieuses.
Mais K. était là et ce qu'il m'a dit après m'a touché comme jamais. Je l'aime plus que tout.
Vivement la fin de la prépa'. Vraiment. Je n'en peux plus. Je suis à bout. Je suis une boule de larmes.
Je n'arrive plus à écrire. Et p*tain, s'ils n'étaient pas là, j'en pleurerais tout le temps, tous les jours. Ils me manquent. C'est vrai, au fond, là, je suis chez moi après deux semaines à l'internat et Voisine me manque ce soir, K. me manque en ce moment.
Je posterai les résultats du concours blanc, j'ai tellement peur qu'ils soient mauvais...
Je ne sais pas, j'ai tellement l'impression d'avoir tort. La preuve : je suis chez moi, là, dans mon propre lit, et mes larmes coulent, et ma gorge se serre.