Peur, angoisse, panique.
Je ne suis pas prête pour la rentrée.
Je n'ai pas fait la moitié de ce que je voulais faire.
J'ai tenu mon journal de nouveaux mots anglais ; j'espère le continuer.
J'ai presque fini de lire Nietzsche ; laissez-moi vous dire que ce type est totalement dégoûté de ses contemporains et un peu misanthrope sur les bords, et élitiste. Enfin.
J'écoute de la musique totalement indigne de ce que j'oserais montrer en public.
Zweig est décidément mon écrivain préféré.
Cet article est pourri, mais il faut vraiment que j'exorcise tout ce que j'avais à dire ; je n'en ai pas dit la moitié.
Il faut que je réponde à A.. Je ne peux pas, je n'ai encore rien à dire (sauf : je m'inquiète de n'avoir rien fait mais je sais que c'est de ma faute ; vous auriez le devoir de me le dire ; et au fait vos e-mails me donnent la pêche, vous pouvez m'en envoyer un par semaine ?). Ouais ouais.
Vivement Alice aux Pays des Merveilles.
[Faites que F. vienne.]