Faut-il se méfier des images ?
Déjà, merci à tous pour vos petites pistes en philosophie, ça m'a permis de construire un plan que je trouve cohérent (et vos idées allaient dans le sens de la mienne !), mais le contenu est juste pitoyable, pas de références littéraires (pas assez) et deux références philosophiques seulement (!). Allez, je vais relever les références, histoire de me plaindre de mon inculture.
Euh... c'est mieux si je considère tous mes exemples. Y'aura plus de lignes.
Scientifique, avec une comparaison avec l'atome.
Quotidien, avec les cailloux pour les enfants.
Monumental / Historique, avec le mont Rushmore.
Philosophique, avec Descartes (enfin !) et le doute méthodique [en même temps, c'est très petit et nul].
Technique, avec le hors-champ de la caméra.
Cinématographique, avec l'adaptation Les liaisons dangereuses de Vadim et de Frears (juste dire qu'il y en a deux).
Poétique, avec Baudelaire, Rimbaud et la synesthésie (je ne fais que l'évoquer).
Le Mensonge : le pianocktail de Boris Vian !
Philosophique, avec la phrase ultra-méga-giga connue de Kant : l'art n'est pas « la représentation d'une chose belle mais la belle représentation d'une chose ».
Quotidien, avec les images d'Épinal.
Littéraire global, avec l'autobiographie, le portrait et le biopic (une évocation, encore).
Maintenant, vous dire pourquoi je suis une menteuse sur cette dissertation.
« Seuls les mots parviennent à nous faire voir le pianocktail que Boris Vian décrit dans L'Écume des jours. » Voilà ce que j'ai écrit.
Voilà ce que le monde a inventé.