Okay. I was wrong. Maybe it will be harder than I thought.
Dimanche 8 mars 2009
Je lutte contre moi-même, mon envie de pleurer à l'écoute de la playlist spécial déprime que j'ai fabriquée et contre les sentiments qui me submergent lorsque je lis cette put*** d'histoire d'amour, ici. (C'est un HPxDM, donc homophobes s'abstenir.)
D'accord. Peut-être que je ne vais pas si bien que ça. Peut-être que j'ai envie de laisser ma peine s'en aller. Peut-être que j'ai besoin de ne rien ressentir.
L'euphorie du moment, comme on dit...
Je suis amoureuse de lui. Peut-on vraiment me le reprocher ? Peut-on me reprocher de ne pas vouloir l'avouer ? Peut-on me reprocher de l'avoir voulu, lui, dans toute sa splendeur ?
Bien sûr, ça me passera. Ça passe toujours.
En pensant à ça, je me pose des questions sur moi-même.
J'ai cru un instant ne pas véritablement aimer M. IP. J'ai cru que je pouvais effacer, comme ça, cette attirance. J'ai cru que je revivais enfin, depuis que je m'étais avoué mes sentiments... J'ai cru que je ne ressentais plus rien, que je n'avais plus de cœur.
Où est la vérité ? Dois-je vraiment la chercher ?
S'il est impossible de se mentir à soi-même, trouverai-je la vérité un jour ?
Mots doux...
Par Mardi 21 juillet 2009
le Je pense quand on aime. Quand on désir. On ne peut malheureusement pas enlever ces sentiments là. Se serai tellement plus simple franchement. Aimer, désirer, ne pas aimé, ne pas désiré sur commande.
Leave your word !
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Bon courage quand même en tout cas :)