Just let me laugh out loud. Be right back.
Je suis amoureuse de Eleven. Quand j'ai regardé le premier épisode il y a un mois, à peu près, je ne pensais pas que ce serait si intense. Et puis j'ai trouvé son sourire tellement craquant, et j'ai eu envie de lui enlever ses fringues (c'est normal ? je crois que c'est la frustration qui parle). Et maintenant que j'ai descendu toute la saison cinq...
Je l'ai follement aimé, pour des raisons stupides, un peu. Parce qu'il me fait penser à N., tout le temps, par ses mimiques, par son sourire, et c'est pour cela que je n'ai regardé que la saison cinq (et que je vais continuer avec la six). Sa mâchoire, aussi. Je passais une journée de m*rde le jour où j'ai décidé de regarder le premier épisode, et... paf. Je me sentais bien, après. Vraiment. Pas que N. me manquait moins, mais la douleur de son absence était moins présente, je suis devenue sereine vis-à-vis de lui (même si je pense encore tout le temps à lui et que je me demande ce que ce serait si nous nous parlions encore aujourd'hui).
Je l'ai tellement aimé parce qu'il me faisait rire, parce qu'il me faisait pleurer, parce que mon cœur se déchirait, parce qu'il m'a fait croire en mes goûts aussi, parce que c'est bien de rêver, parce que mes larmes m'ont fait du bien lorsque je les ai versées. Parce que "bow ties are cool", parce que les acteurs britanniques sont géniaux, génialissimes. C'est tellement difficile de ne pas l'aimer, en fait.
Je ne sais pas vraiment comment vous convaincre de vous mettre à cette série si ce n'est pas déjà fait. Ce que je voulais faire, c'est surtout exprimer à quel point elle m'aide, moi, à me détacher de ma vie.
Je suis rarement obsédée lorsque j'entreprends quelque chose, mais là, j'ai eu du mal à ne pas regarder en classe, ou dès que j'avais un moment de libre.