When you've got nothing to say...

Lundi 13 septembre 2010

( Pourriez-vous imaginer que ceci a été posté 24 heures plus tôt ? ^^ L'absence d'Internet dans ma chambre m'a empêchée d'aller plus loin que l'écriture. )

I'll take a quiet life,
A handshake of carbon monoxide,
With no alarms and no surprises...

J'en ai assez de ces humeurs qui jouent aux plus malignes avec moi. Elles gagneront, alors quoi ? Ce sont toujours elles qui gagnent, ce n'est pas la première fois et ce ne sera pas la dernière...
Je suis fatiguée de lutter. Fatiguée de voir les éclaircies et les assombrissements. Fatiguée de supporter la personne que je ne suis pas réellement.

La prépa' exacerbe tout. Elle exagère nos caractères, elle éprouve nos résistances, elle évalue nos capacités à survivre.
Je suis une fille qui y arrive, qui ne se laisse pas publiquement abattre. Si je vais mal, je ne leur fais pas savoir. C'est ça, l'égoïsme auquel je suis parvenue. Un moyen de me protéger tout en recouvrant ma fierté.

Le blues du dimanche soir, il est toujours présent, il est encore puissant.
Je ne suis pas rentrée chez moi ce WE, on m'a apporté les choses dont j'avais besoin à Paris, directement. Et j'ai même vu ma famille mercredi et vendredi. Après deux mois passés à les voir tous les jours, j'ai besoin de plus.
Et puis, ce blues de la rentrée, même s'il ne m'a pas attaquée si violemment, il rampe autour de mon cœur et s'enroule. Cette année, j'ai commencé plus motivée, je compte continuer motivée.

Peu importe leur absence. S'ils avaient été présents, oui, je me serais mieux sentie. Mais d'autres personnes m'entourent. Ils ne sont pas les seuls. Ils n'ont pas été les seuls.
J'ai beau vouloir vivre ma scolarité de mon côté, en silence, seule, ne pas vouloir trop en parler (même ici, finalement), je ne suis pas contre une oreille attentive.

Oui, une note triste. Parce qu'au fond, si j'ai les yeux qui piquent, ce n'est pas forcément à cause de la fatigue.

Mots doux...

Leave your word !

Par maud96 le Vendredi 17 septembre 2010
On s'y "fait" à ces absences... affectives. Mais c'est vrai que,pour ma part, je les ressens comme "desséchantes". Il est vrai que la "distance" de ma famille fait renoncer à tout espoir de visites. Bon courage... et tant que Mr. Fleurs te fait frisonner, il y a du piment dans ta vie !
 

Leave your word !









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://madness.of.love.cowblog.fr/trackback/3038142

 

<< After | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Before >>

Créer un podcast