Je regrette, je regrette
I haven't had you yet
I've been down, I've been down
I heard you weren't around...

 

... Ce qui est totalement faux, vous en conviendrez. Et même si vous ne le savez pas, vous ne pouvez que me croire.

J'ai passé la dernière semaine, celle avant les vacances, dans un état second. Complètement fatiguée, du début à la fin. Je me suis réveillée à 6 heures tous les matins, alors même que mon réveil sonne à 7 ou 8, j'ai parfois repoussé l'heure du réveil de vingt minutes sans grand succès, j'ai même fini par boire du café les deux derniers jours, sur toute la journée. Great.
Mais... c'est une semaine qui est passée telle une furie. Rapidement, de manière saccadée. Je n'ai pas tellement eu le temps de penser. J'ai tenté de me reposer, sans succès, il faut vraiment que je me mette à l'Euphytose, tous les soirs. J'ai oublié la plupart des choses qui s'y sont passées, car je n'ai pas tenu mon journal (et je ne sais pas si je vais le rattraper, peut-être rapidement, probablement même). J'ai rigolé avec mes copains d'amour ♥. (No se me olvidó no enamorarme de él.)

J'ai bu un litre de bière et un whisky-coca bien chargé (j'ai dû être à 5 unités d'alcool dans le sang), vendredi soir. J'ai fait des câlins à Ni., à SP, à Na. (un peu pour me faire pardonner), je me suis assise sur C., j'ai fait un bisou sur la joue à SP, j'ai rencontré une copine de SP, j'ai dit "je t'aime" à A. (ça, c'est la loose quand même, puisqu'il n'y avait aucun sentiment amoureux dessous), j'ai téléphoné à S. (heureusement qu'il n'a pas décroché, GOSH), j'ai dit à la cousine de A. que j'étais très intéressée par [...] et ça va remonter aux oreilles de S. et je crois que c'est la pire connerie que j'ai dite de la soirée... je regrette, je regrette.

Je me sens éteinte en ce moment, même en ce moment. Je ne sais pas si je peux vraiment changer cela. Je n'ai rien à raconter ici, rien pour alimenter mon blog, et surtout pas d'énergie pour le faire, alors voilà. J'écoute des musiques déprimantes toute la journée, je bois plein de thé, beaucoup de thé, je travaille (ou essaie de...), je me bouge parfois, j'ai mal aux yeux je mets du collyre tous les matins, je prends ma pilule d'Euphytose tous les soirs. Je suis une fille ennuyeuse.

Et j'aime ça.

Envie du jour.

Jeudi 20 octobre 2011

Je me vois parfaitement bien me balader le soir, lorsqu'il commence à faire frais, après avoir bossé une à deux heures, une clope à la main, et marcher durant vingt minutes.
J'ai envie de fumer. Et cette envie revient, revient. (Mais je ne dois pas. Ça sent pas bon, ça coûte cher.)

(Sinon j'ai bu hier soir.)

Absence et vides.

Dimanche 9 octobre 2011

Juste un petit coucou très, très rapide.

En ce moment, ce n'est pas la forme.
Ma vie sentimentale / amicale se porte (parfaitement) bien, même si je n'ai toujours pas la stabilité qu'il me manque (clin d'œil mon petit Axel), je ne suis pas prête (clairement pas) à avoir une relation amoureuse de toute façon, MAIS (point positif !) je me suis débarrassée des démons que sont N. et Mc. aussi. (D'ailleurs ma petite Satine je voulais te demander en quoi je me voilais la face par rapport à N., mais je n'ai pas eu le temps / ai oublié !)
Mais côté santé et motivation, ça s'écroule. J'ai rarement été aussi mal physiquement qu'actuellement, je pense qu'un petit rhume s'est creusé en moi (refilé par des gens, SUPER, moi qui ne tombe jamais malade je suis ra-vie... et ça ne va pas aider ma légère misanthropie) mais sans causer trop trop de dégâts, juste des maux de crâne et une fatigue constante. Qui font que je ne peux pas travailler efficacement, bien sûr.

Je suis blasée, aussi. J'en ai marre des cours complètement inutiles, marre de gâcher mon temps avec des profs incompétents / qui nous surchargent de travail inutile. Ça m'énerve profondément, je veux mes concours, mais ne pas suivre les cours c'est du suicide auprès des profs, donc je ne sais vraiment pas quoi faire en réalité. J'ai un peu envie de pleurer à chaque fois que j'y repense. Les gens dans la classe sont très heureux de leurs profs de langues, s'ils veulent ça ne me dérange pas, mais moi ils me sortent par les trous d'yeux, je n'en peux plus du boulot qu'ils nous infligent (et pourtant, dans mon ancienne prépa', j'en avais pour une matinée entière à faire tout ce qu'ils demandaient), là c'est beaucoup trop pour mon cerveau fatigué. Le prof' d'histoire et le prof' de philo', qui ont été remplacés cette année, sont deux grosses blagues ambulantes. Je n'ai d'amour que pour le cours du prof' de maths (et là encore, je suis fatiguée alors je suis peu...) et celui du prof' de français (ce qui me surprend mais soit).

J'essaierai de repasser donner plus de nouvelles, mais j'ai du mal à tout joindre en ce moment, tout va trop vite autour de moi.

Heart broken. Heartless?

Mercredi 14 septembre 2011

Non, je ne me sen(tai)s pas bien. Peut-être que j'attendais trop de cette rentrée, j'attendais de moi des choses que je ne peux décemment pas avoir, surtout pas après trois ou quatre mois sans aucune rigueur. J'ai perdu tellement de rigueur, en anglais, en espagnol, ça me surprend et ça m'énerve beaucoup plus qu'autre chose. Il faut que j'apprenne à me concentrer, et ça, c'est pas facile non plus.

Mais, quand même, j'aime ce lycée, ce serait con de dire le contraire. J'aime ce lycée parce que je n'ai pas l'impression que ce sera plus facile qu'à LLG où j'ai pris mes marques en deuxième année. Ici, vraiment, je sens que ce sera corsé. Pas plus mal pour quelqu'un de dissipé comme moi... Et il va aussi falloir du temps avant que l'aura LLG se disperse un peu. J'aimerais que S. comprenne que non, ce n'est pas facile d'être ici, que oui, je suis mauvaise et je le dis, parce que je l'assume à moitié. Il verra bien de toute façon. (Malheureusement.)

J'ai un groupe de khôlle qui a l'air plutôt sympa. J'aime bien le premier (et j'avoue que j'aurais voulu rester juste avec lui...), il est drôle et seine-et-marnais (héhé), mais le deuxième mec a l'air sympa aussi (très esprit prépa', mais il ne faut pas se mentir, je suis en deuxième deuxième année... j'ai une part de ce qu'on appelle péjorativement l'esprit prépa' en moi, pas beaucoup parce que ce n'est pas dans ma nature, mais quand même). Et le premier... est quand même un ami de S. (si ce n'est le meilleur ami).

Je suis plus forte qu'avant. Il faut que ça me serve. Je sais que je dois guetter la déprime (pas la dépression, je ne juge pas mon état assez intense pour être qualifié ainsi). La chose qui me fait le plus peur, ce sont mes émotions négatives. Hier soir, j'ai cru que j'allais sombrer dans les pleurs et l'apitoiement, mais quelque part, je remercie ma raison de s'être réveillée, et de m'avoir donné le courage de me mettre dans le boulot, ça m'a fait énormément de bien d'achever ce que je laissais traîner depuis lundi. Vraiment beaucoup de bien. Et c'est aussi peut-être le café.

Ce matin (de mercredi), je commence à 11 heures. Je suis censée avancer le DM de maths (il est 8h40), je me suis réveillée à 7 heures, mais j'ai préféré avancer dans ma fanfiction (ma nouvelle, oui ; j'ai fini le monstre que j'ai offert en cadeau d'anniv' à une amie !).
Et j'écoute de la musique un peu triste. Et j'ai un trop-plein d'émotions en moi, de l'optimisme.

Oui, je change d'humeur comme de culotte, mais que voulez-vous...
Mardi 6 septembre, 13h08, je suis dans ma chambre, fais une pause avant de retourner pour 3 heures de DS, et viens de manger une tranche de jambon (40 g) et une barre céréalière au chocolat en guise de déjeuner. (Sinon je bois un thé tout chaud.)

J'ai fait 4 heures de DS d'histoire ce matin. Enfin, 3h45 tout en dormant 5 minutes au moins 3 ou 4 fois... le prof' m'a grillée, je l'ai vu me regarder à un moment quand j'ai relevé la tête, haha ! Je ne vous donne pas le sujet car je ne veux pas risquer que quelqu'un de ma classe tombe sur mon blog, mais cela concernait un monde occidental. Je crois que je n'ai pas été assez subtile, ni assez détaillé ce que je pensais, et encore moins écrit tout ce que je voulais écrire, mais bon.
C'est très étonnant que j'aie pu faire un brainstorming + un plan en une heure, j'ai commencé à rédiger tôt, j'avais une heure par partie, c'est largement suffisant (ce qui explique que j'ai dormi).

J'ai des pensées très étranges en DS d'histoire, vous savez. Une chanson de Yannick Noah (pourquoi ?) dans la tête, pendant un bon moment. Des pensées seskuelles honteusement explicites (souvenirs, souvenirs...) (à cause d'un garçon la veille, qui parlait d'une certaine position, argh je hais mes associations d'idées). Et un regard vers derrière (je suis à l'avant-dernier rang), un petit rire avec le voisin, et je fonds littéralement (j'ai quand même le droit de trouver un mec canon, mais pas dans la classe, non non non, ce serait une erreur vu ce que je suis prête à donner (pas grand-chose)). Une pensée pour le Chou, avec le 25 décembre 1991 et le petit rire, j'ai l'impression de retrouver un peu le courage qu'il me donnait par sa simple présence dans une salle de DS.

Je l'ai appelé hier, une grosse demi-heure je crois, ça m'a fait du bien de tout lui raconter. Il me manque ♥.
J'ai payé mes courses du midi avec un chèque, c'était la première fois que je faisais ça.

J'ai mal aux deux bras. Vraiment mal. J'ai porté 9 kilos à bout de bras pendant un moment quand même.
J'ai déjà monté 4 fois 4 étages jusqu'à maintenant, je ne suis pas sûre d'avoir besoin de faire du sport, haha.

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