It's the wrong kind of place to be cheating on you,
It's the wrong time but she's pulling me through...



Quelque chose me tord le ventre. [Oui bon, j'ai faim, mais pas que ça.]

J'ai dû oublier de vous parler de Jo. Les péripéties que vous avez raté, mes fidèles lecteurs adorés, sont loooongues.
Il y a eu les menottes (oui oui, vous avez bien lu), les volontés de positions compromettantes (alors même qu'il était, il me semble, casé), l'envie d'utiliser les menottes et d'être pris en photo avec (et là, je savais (mais il ne savait pas que je le savais) qu'il était casé !)... Non, pire que ça : il voulait paraître dans la publication journalistique de ma classe. J'ai recouvert la raison à temps et ne l'ai pas laissé faire ça. Merci les filles !
Il m'a avoué avoir une copine, vouloir que les effusions entre nous soient moins évidentes. Je l'ai fait, sans problème. Je vous l'avais dit ? Le fait qu'il ne me manque pas lorsqu'il n'est pas là ?
Il me redit (tout à l'heure même) vouloir (quand même) aller au restau' avec moi, en amis.

Discuter avec ma petite Estrella (nouveau personnage ! :p C'est ma voisine de chambre. Je vous parlerai plus longuement d'elle, un jour, promis. J'ai tellement de trucs à dire !) m'a permis de me rendre compte, peut-être, d'un truc. Elle me disait qu'elle pensait qu'il voulait sortir avec moi, mais que suite à mes nombreux "rembarrages", il a laissé tomber, et il sait à quoi s'en tenir.
Peut-être. Mais je ne pense pas. Je pense simplement que c'est quelqu'un d'assez peu mature, qui a besoin de se sentir aimé, et maintenant qu'il a une petite amie (alors même qu'il m'avait dit ne pas en vouloir une à cause de la prépa !), il va mieux, il s'éloigne.

Que dire, sauf que... ça m'a énervée sur le moment, mais ça ne me fait pas grand-chose, en vrai ?!

Je ne peux pas finir cet article sans mettre ici le superbe SMS que je lui ai posté. Yeux sensibles (vous n'en êtes pas !) s'abstenir !!
Précisions : Constance, c'est Estrella, c'est une très bonne amie commune.
Je précise que c'était une blague, et qu'en tant que blague qui se respecte, elle l'a fait rire. =)

« Salut beau gosse. Je suis avec Constance. On pense trop à toi, on est trop en manque... Y'a une place vide dans nos lit, et quand on a vu ta photo, on a tellement eu envie de toi que nos draps s'en souviennent encore... Je brûle de désir pour tes muscles si bien dessinés... J'espère que tu penses à moi quand tu te branles... parce que moi oui. Je rêve de vraiment te dominer. Tu seras mon esclave. Avec les menottes, je t'attacherai et te lécherai entier car tout est appétissant chez toi. L'idée d'avaler ta délicieuse semence masculine m'excite follement. Un lent va-et-vient dans ma bouche... J'ai même envie que tu suces le Nutella étalé sur mon corps. Sois à moi ! Bien entendu cette bestialité reste entre nous. Je te fais confiance. »

Merdum, M. IP me manque, j'ai envie de l'embrasser. Parce que ça me manque, l'amour, je crois que ça me manque trop...


 
http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/SunsetDREAMS2byjuliadavis.jpgL'Anglais. Une personnalité étrange, une personne peu classique. Ou alors, beaucoup trop classique, une personne normale, et c'est moi qui y ai vu de l'extra-ordinaire, du hors-ordinaire.
C'est tout un art de "danser" avec lui. On ne sait jamais sur quel pied le faire. Ou, en tout cas, je ne sais jamais.
Trop gentil, trop cynique, trop cruel, trop honnête. J'ai eu tendance à l'idéaliser.
Et que le premier qui pense que j'idéalise tous mes amis lève la main et laisse un commentaire pour que je le fouette ;) !

Non, c'est vrai quoi, il devait (je pense) être spécial pour que ma Pareille le déteste et que moi je l'adore. Elle le détestait vraiment, il l'insupportait, et il faut avouer que parfois, parfois... j'avais du mal avec lui, j'avais du mal à accepter qu'il me taquine autant. Avec le recul, je me dis que c'était sa manière de me dire qu'il m'appréciait... Sa curieuse manière de parler d'amitié.

Vraiment curieuse, comme le jour où il s'est assis sur mon ventre alors que j'étais allongée sur l'herbe. Et il est lourd, en plus... C'est un mâle dominant ? =)

Pourquoi ce surnom ? Je me le demande aussi. Qu'est-ce qui m'est passé par la tête le jour où j'ai jugé correct de le surnommer ainsi ? Son amour de la langue anglaise, peut-être.

Merdum, j'ai envie de voir de "vieilles" têtes, j'ai envie d'être en été, en juin, après le bac, soulagée, heureuse, mais dans ma "situation" actuelle. Situation sentimentale, s'entend.
Il est 02h13 et j'ai cours (de harpe) demain matin à 11h, sachant que je compte également travailler le français le matin en lisant une pièce de théâtre et fouillant les passages intéressants à jouer (oui oui). Bref, je vais avoir une nuit très courte.


Parfois, j'aimerais ne pas avoir de révélations surprenantes et trop inutiles dans ma salle de bains. J'ai très souvent une illumination dans ma salle de bains : je me rends compte que je suis amoureuse, ou alors que je ne le suis plus, ou je comprends un exercice de maths (pas jeter la pierre, les ECS c'est fragile), ou je comprends ce qui va pas chez moi.

Et là, je crois que c'est pas grave, mais comme c'est mon blog et ma vie et voilà, je dis ce que je veux. =)
Bref.

Jo ne me manque pas, mais je suis tactile en sa présence. Je n'aime pas Jo d'amour (enfin, je n'en ai pas l'impression), et je m'amuse à le faire croire. Je l'embrasse sur la joue pile quand Mademoiselle C. (conservons son anonymat vu qu'elle m'est plus ou moins indifférente) arrive, Jo sort lâchement « Vous sortez ensemble ? », je réponds encore plus lâchement « Non » en m'approchant ostensiblement de lui puis en niant immédiatement.
Jo m'écrit, dix minutes après m'avoir laissée, « tu me manques déjà ». Oui. Et je ne lui ai absolument pas fait comprendre que lui aussi (vu que ce n'est pas vrai), j'ai justement été très dure en disant que... « tu vois, entre nous deux, c'est toi le moins résistant. », en continuité avec ce que j'affirmais au début des vacances (que cette semaine et demi sans le voir serait passable).
Je suis cruelle, hein ? Cruelle de l'aimer seulement quand il est là...

Autre révélation du siècle : je galvaude les termes « Je t'aime ». Je les use souvent, beaucoup, et presque toujours sans vraiment les penser comme un don ou comme des mots importants. J'ai banalisé à l'extrême le sentiment de l'amour que l'on cache d'ordinaire derrière ces mots, m'attachant surtout au fait qu'aimer, c'est amical. M'attachant plus que tout aux amitiés... Je fais plus confiance aux amitiés, est-ce un crime ?
Oui, je dis beaucoup « Je t'aime ». Mais à l'instant où je le dis, je le pense. Même si ce n'est rien de plus qu'amical, même si je ne suis pas amoureuse de la personne. J'aime énormément, beaucoup de personnes.

Je suis une véritable handicapée de l'amour.

N'oublions pas M. IP dans le lot, une amitié améliorée en vue sans aucun sérieux. Et je n'ai plus de cœur je crois, je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus ce que je vaux, suis-je capable d'aimer à nouveau ?

Je viens de recevoir un SMS de sa part. Quand j'ai vu l'expéditeur, tout ce que j'ai trouvé à dire, c'est « Oh non pas lui. »
Tuez-moi.

And you hold me in your arms,
And all that I can see is my future in your hands...



Les vacances ont cela de détestable que je ne sais pas travailler.
J'ai une tonne d'exercices, sans rire, mais je ne sais en faire aucun. C'est une dépression certaine qui m'attend à la fin de ces vacances, au lieu du repos tant souhaité. Je commence à désespérer de mes capacités, notamment en mathématiques.
J'ai passé deux heures à ranger mon classeur de langues (anglais / espagnol) et à faire quatre pauvres phrases de thème grammatical, le dictionnaire en équilibre sur la pile de livres qui ornent mon bureau.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/SweetAndLowbyaufsaibelle.jpg
Et je suis tombée amoureuse de la chanson à la première écoute, de l'artiste tout simplement, et je trouve que la photo exprime très bien mon envie de légèreté.
Okay.
Reprenons.

Qui est-ce qui me dit qu'il veut s'éloigner de moi pour éviter que les rumeurs enflent ? [Il y a deux semaines.]
Qui est-ce qui alimente les controverses en sortant À POIL de MA chambre d'internat ? [Ce matin.]
[Okay il était pas à poil mais il avait enlevé son tee-shirt. Pour se mettre de la crème hydratante. Je n'ai pas regardé, promis juré.]

EDIT :
Nous avons fini dans la Raghâll. Je ne m'attendais pas à autre chose.

Par contre, ce à quoi je ne m'attendais pas du tout, c'était cette volonté surprenante de vouloir vraiment alimenter les rumeurs et les controverses, à un point très prononcé. Au point de m'en envoyer un message pour me l'annoncer, samedi matin. En me disant (plus ou moins sans préambules) « Euh si tu veux on peut alimenter les controverses. » En fait, il a commencé par me demander s'il roulait du cul. J'ai répondu que je n'avais jamais regardé (ce qui est vrai, même si j'ai touché). Et bien sûr, ça ne le dérangerait pas que je le fasse... Sans oublier ses allusions peu discrètes, son « Tu me manques trop » ou « Y'a des strip-teaseuses », ou encore « Une semaine c'est court quand on glande (etc), mais long en amour my dear »...

Le Dieu de l'amour ne doit pas exister. Il doit vraiment me haïr, sinon. Ou alors, je réagis mal ?
Snake. L'autre con. M. IP. Rien qu'eux. Ça me démontre que le Dieu de l'amour, s'il existe, me hait.
Et maintenant, la cerise sur le gâteau. Jo.
Je ne sais jamais si entre nous, c'est superficiel ou naturel, hypocrite ou spontané, calculé ou sincère. Je ne sais jamais s'il plaisante lorsqu'il me parle (par SMS), ou s'il se livre véritablement lorsqu'il n'est pas en face de moi. Et ce qui me dérange le plus, c'est de savoir qu'il veut qu'on joue les acteurs, alors qu'il y a à peine un mois (avant la Raghâll), on alimentait les controverses sans y penser.
J'ai peur d'être amoureuse de lui.

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