Des pulsions me poussent à fouiller deviantART, customiser mon ordinateur personnel (wallpapers !) et avoir envie de créer un nouvel habillage. J'ai envie d'une ambiance lumineuse, noëlisée, avec des petites lumières, beaucoup de blanc (je trouve mon blog trop sombre !), du pastel, du bleu, du rose, et un menu en haut, et pas de cadre pour les articles. Les vacances dans une semaine, peut-être un peu de manip' graphiques en vue (ça me maaaanque !).
J'ai du mal à continuer ma chronique et mon racontage de vie. J'aimerais pouvoir le faire quotidiennement, mais impossible.
Jeudi, j'ai travaillé les maths durant plus de trois heures avec ma voisine. Pas mal. =) Jeudi, Jo est resté dans ma chambre un moment. Il n'a pas réussi à travailler, ma présence ou je-ne-sais-quoi, ça m'énerve qu'il m'ait dit ça.
Vendredi après le cours d'espagnol (après son « Ça m'excite » plus que douteux quand j'ai taquiné sa main avec mon stylo), je lui demande mon petit SMS du soir, comme d'habitude. Il se met (ou me met ?) au défi de ne pas en envoyer. Force est de constater que le week-end est largement passé et qu'il est toujours inerte. =) Et ça ne me manque pas.
L'amitié, c'est beau. =)
Je devais voir J. dans la semaine, j'abandonne cette idée. Je devrais voir C. (mon ², mon khârré) dans la semaine, je ne peux pas me défiler.
J'ai eu la remise d'une récompense par la ville (pour le bac'). Revu M. IP, encore. Rien de plus, rien de moins. Tout va bien.
Vraiment ?
J'ai des maths, de l'histoire, de la philo. Merdum.
Advienne que pourra...
'Cause my heart is burning and my eyes are crying.
Dimanche 18 octobre 2009
Everything is coming down, I'm breathless, I'm hopeful.
Lundi 12 octobre 2009
J'ai le cœur léger et lourd, j'ai le cœur libéré et plein. J'ai "quitté" M. IP, j'ai rompu avec notre histoire (en témoigne la lettre que j'ai postée sur ce blog, un peu plus bas... merci pour vos compliments d'ailleurs, ils m'ont touchée, tout autant que mon histoire avec lui !).
Surprenant qu'il m'ait fallu tant de temps pour me rendre compte qu'entre lui et moi, plus rien ne pouvait plus se passer. Quelque part, je devais vivre dans l'espoir de ce quelque chose, que je sais à présent vain... Peu importe, le résultat est que je me sens bien, tout simplement.
Et Jo. Bien sûr, comment ne pas revenir à lui.
La semaine passée fut tout bonnement une horreur. Il était distant, froid, pas beau pour moi, pas bon pour mon estime. J'ai un peu déprimé, je l'avoue, j'avais besoin de lui et il me retirait tout ce qu'il avait jusque là donné. Il montait à l'étage mais ne venait pas me voir, il ne m'envoyait plus de SMS gentil le soir. Il était absent, tout simplement, alors que j'avais besoin, envie de sa présence.
J'ai clamé qu'on ne sortirait jamais ensemble, des dizaines de fois je crois. Pour éviter ces fameuses rumeurs tueuses.
Ce week-end, je suis devenue sa "sweetheart", ce matin, je suis devenue sa "caribout'chou" [je l'appelle parfois "bout d'Chou"], ce week-end je lui ai manqué, ce matin il m'a promis un GROS câlin [gros en majuscules, bien sûr].
Je ne sais plus sur quel pied danser avec lui, d'ailleurs l'ai-je déjà su ? Bien sûr, fière comme je le suis (un peu), je ne reconnaîtrai pas (en tout cas, pas prochainement en face d'autres) qu'il me plaît. Ni que j'ai cru, un instant, quelques jours, que c'était possible.
J'avais craint il y a encore deux semaines être sur le point de tomber amoureuse. J'avais cru ne plus pouvoir tomber amoureuse.
Actuellement ? Je ne sais plus.
Et J. qui me dit que ça va "bof". Et J. qui me manque. Does he know he makes my sun?
Je voudrais, je voudrais. Mais je ne peux pas.
Même si cette chanson ne ressemble pas à ce que j'écoute d'habitude, j'ai quand même fini par l'apprécier après moult écoutes, et maintenant je l'aime bien. Elle me donne la pêche que j'ai perdue...
I feel... stressed out I wanna let it go,
Let's go way out spaced out and loosing all control!
I feel... stressed out I wanna let it go,
Let's go way out spaced out and loosing all control!
Les Autres. Une vraie plaie, lorsqu'on a une relation un tant soit peu tendancieuse avec un ami.
Jo est en passe de devenir J.. De prendre à la fois une place dans mon cœur qui est la même, et un surnom qui est le même, et une relation qui est la même. Mais ça m'embête. Ça m'embête, parce que J. est une personne importante pour moi, parce que j'aurais besoin de l'écrire sur mon mur FB (oui oui), et que si je l'écris, j'aurais de suite 40 messages sur Jo et moi. Ne pouvait-il pas s'appeler autrement ?!
Les Autres. Le regard des Autres. Je le déteste. Moi, j'arrive à m'en émanciper, j'arrive à l'occulter. Lui... Ça le dérange plus. Je reconnais que cela peut être troublant et énervant de s'entendre répéter "Alors, elle et toi ?", quand on est dans une simple optique amicale. Mais justement, lorsqu'on est sûr de soi, n'est-on pas au-dessus de ces considérations triviales ? Si moi je le suis, pourquoi pas lui ?
Je connais la réponse, un peu. Je sais pourquoi je suis tant détachée alors qu'il est plus impliqué et soucieux du regard des autres. Bien sûr, je ne connais pas tous ses antécédents "amoureux" et sentimentaux, mais il ne peut pas être aussi compliqué que moi... si ?
Je me suis endurcie, à un moment. Les larmes n'ont plus vraiment existé (seule exception : lorsque je regarde un film). Je crois que c'était suite à l'autre con, en fait. À cette première véritable déception et déchéance. Et suite à cela, j'ai fait des erreurs de parcours, des relations regrettables, des sentiments de fumée.
Je sais que je me sens incapable de tomber amoureuse. Et tant que moi, je sais, et que lui, il sait (que ça n'arrivera pas, pas que je suis incapable d'être amoureuse), je ne vois pas le problème. Les rumeurs existeront toujours, ce sera une chose ou l'autre.
Nous sommes observés ? Tant mieux pour eux, ils s'amusent ! Si ce qu'ils veulent, ce sont des rumeurs, je serais ravie de leur en donner !
Les Autres. Cette plaie. Pourquoi agir en fonction des autres ?
You're becoming someone to me. I don't know if I should be afraid or thrill.
Lundi 21 septembre 2009
And I feel like the summer is leaving again,
I feel like you're gone...
I feel like you're gone...
Ils ont dit... la Raghââââll. C'est un des trucs spécifiques à notre classe. En fait, il s'agit d'une parution plus ou moins hebdomadaire, contant les petits 'potins' de notre classe. Souvent ce sont des bêtises, souvent ce sont des rééditions, souvent il n'y a rien de nouveau, mais on se l'arrache tous.
Et cette fois (il fallait bien que ça m'arrive), j'y suis parue. Certes c'était bien plus soft que ce que j'avais pu entendre... J'avais entendu les plus folles rumeurs sur le fait que Jo soit venu dans ma chambre, que j'aie été ligotée, attachée, en combinaison de cuir (bien sûr) avec un fouet... [Je me savais maso mais là !...] Bien entendu, j'ai fini par faire croire que c'était lui, l'attaché. Réponse de l'intéressé, quelques heures/jours plus tard : "Ah mais j'ai adoré me faire ligoter !" "Je le savais, passe ce soir, on recommence."
Et parce qu'on s'est dit qu'on se ferait un chinois un jour (tous les deux ?), je le garde. Amicalement. Profondément. Il me surprend. Il m'a surprise.
Je l'aime trop pour mon propre bien. J'ai juste envie d'être avec lui. Est-ce de l'amitié, est-ce plus ? Le prend-il comme de l'amitié ? Dois-je faillir à mon inclinaison habituelle, tout expliciter, tuer le mystère ?
J'ai souvent agi d'une manière un peu ambiguë avec mes amis. Il fait partie de ces mystères un peu trop touffus qui me font perdre, il est comme M. IP, après tout. Et si différent.
Oh, de dernière minute : j'y suis aussi dans l'édition de fin de semaine (ils attendent "l'officialisation" qui ne sera pas), et dans celle de la semaine prochaine. Ce qui fait trois semaines de suite. Merdum, on va exploser les scores.
Les rumeurs m'amusent, j'en joue un peu (je l'avoue) : on se cache dans la cage d'escalier, on ne mange que tous les deux... Mais il me fait des infidélités (haha), et moi aussi (même si c'est moins bien reçu o_O).
And I cannot stop it... You become my life.
Jeudi 17 septembre 2009
J'aimerais passer, encore en coup de vent, pour parler un petit peu de moi. Comme d'habitude.
Bon, on est d'accord, être en prépa, ce n'est pas une liberté absolue de faire ce qu'on veut, de batifoler avec camarades et autres. On est d'accord, ça demande du travail, de la concentration.
Et moi, comme d'habitude, je trouve le moyen de me disperser. Yes, sir! Non mais j'te jure, c'te p'tite Madness, aucun moyen de la maîtriser, une vraie plaie ! :p
Mes amours se rappellent à moi, et d'autres s'ajoutent à l'équation.
Parmi mes amours, je compte bien sûr M. IP. Il a finalement été fidèle à ce qu'il a toujours laissé transparaître : ce mec est le doute incarné, personnifié, et moi, je suis dépendante, je suis faible. J'ai répété que j'aurais du mal à passer à une autre histoire. Mais... on verra, on verra.
Mon pilier, aussi, bien sûr. Parce que mon amitié pour lui et mon admiration sont sans faille. Parce que je dois avoir besoin de lui, quelque part au fond de moi. Parce qu'il est unique, bien sûr, et que je ne veux pas partager ce que je partage avec lui. Malheureusement.
M-A. Oui, peut-être, c'était une erreur, mais peu m'importe. Je ne l'ai pas reconsidérée et ne le ferai pas, il y a des choses qui ne peuvent tout simplement pas se traduire en mots. Je crois qu'il m'a aidée (mais c'est vraiment très peu sûr) à passer le cap de M. IP, un peu, parce que je n'aurais pas imaginé dépasser mon histoire inachevée. Je pensais qu'il fallait que j'achève ce qui ne l'était pas pour me sentir bien dans ma peau, et ainsi... bref.
And, last but not least. Mon p'tit Jo. Rapprochements suspects, qui seront peut-être consignés dans la Ragâll (potins et ragots des classes de ECS du lycée LLG). J'espère que non... =) Je suis son caribou. Tout simplement. Est-ce le début ou la fin ?
Ma Pareille me manque. Darling me manque. J. me manque.
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