Why can't I breathe whenever I think about you?
Why can't I speak whenever I talk about you?

 

Quelque part dans la B.O. de 30 ans sinon rien...

Je crois que je n'ai vraiment pas de chance avec les garçons. C'en est carrément drôle, finalement...

J'ai croisé la copie de mon ex' hier, dans le métro. La copie de Y., ça m'a fait bizarre. Je ne veux pas me dire que c'est le premier 'véritable" mec avec lequel je suis sortie, c'est faux, terriblement faux. Mais il m'a changée, tellement plus que les précédents...
Cela m'a fait étrange, parce que j'en ai reparlé le lendemain avec ma Pareille.

Sinon, après l'épisode "gay" de M. IP (qui apparemment, ne l'est pas tant que ça), voici Jo. Jo le gay.
Ça non, je l'ai pas vu venir. Et encore une surprise dans ma gueule !
En tout cas, je suis hyper heureuse de ce fait. Maintenant, je n'aurais plus à faire attention à ce que je fais ou dis par peur qu'il croit que je suis intéressée. Le seul qui m'intéresse vraiment et qui existe dans ma vie, de toute façon, tout le monde sait qui c'est, je n'en parle même plus.

Cela me fait penser que j'ai été deux fois la "première" confidente de ces sentiments. Ma petite G., dont je suis la première du lycée à avoir été mise au courant, et maintenant Jo, dont je suis la première dans l'entourage. Je dois avoir cette aura qui incite à ce genre d'aveux... Non, cela ne me dérange pas, loin de moi cette idée ! L'amour reste l'amour...
Je dois rencontrer la chérie de G. depuis quelques mois déjà.

J'appréhende un peu le jour où M. IP me dira : « Tu sais, j'ai rencontré un garçon qui me plaît beaucoup. » Parce que ça voudra dire que moi, la petite, ne pourra définitivement jamais lutter contre.
Je n'ai pas envie d'une fin, pas tout de suite. Laissez-moi une véritable occasion de me mettre en couple avec ce garçon, bien que je ne sois pas amoureuse. Je ne veux pas regretter.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/illjustreadabookinsteadbysaturdayx.pngEn plus, j'ai toujours trouvé le jeune homme de la photo plus que splendide.

Me duele el corazón.

Dimanche 11 avril 2010

Titre : Nice thick feathers

J'ai dû répéter une vingtaine de fois « J'ai pas envie d'y aller », aujourd'hui, peu avant 20 heures. Peu avant de quitter la maison, une dernière fois avant deux semaines de vacances.
C'est la première fois que j'ai aussi peu envie de retourner dans cette classe. Je vous jure.

En plus, ce qui n'arrange rien, j'ai appris que mon cousin abandonnait (presque) définitivement la prépa. Il passe un concours d'école de commerce post-bac bientôt, à la fin de la semaine. Je crois que ça me déprime.

Je n'arrête pas de dire que je vais bien, que je me sens bien dans ma prépa, mais je ne sais pas, au fond. Je ne sais pas combien de temps je vais encore tenir à rien foutre de ma vie... Je vous jure ! Les profs disent que je travaille beaucoup, et que ça se voit... Et bien non, pas tant que ça. Je ne travaille pas tant que ça. Si je travaillais, j'aurais des meilleures notes, non ?
Mais j'ai de meilleures notes. Un peu. Sauf en maths.

Je ne sais pas, c'est la prof' de maths qui dit ça. Que je travaille.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/WestoftheSunbypsychiatrique.jpg
Ne m'écoutez pas, je suis aujourd'hui dans une chute brutale de motivation. Je divague.

Sinon, vous savez quoi ? J'aime A. et j'adule J. !

Pour J., c'est simple. J'aime quand il se rappelle à moi et, comme je l'ai déjà dit, qu'il me fasse comprendre que je ne suis pas comme toutes les autres. Pour A., c'est plus complexe. Je crois que j'ai essayé d'expliquer ça ailleurs. En vrai, j'ai relu nos e-mails, tous. Et je me suis rendu compte d'une chose : s'il y a quelqu'un que je ne peux pas appeler "ami" mais dont je me sens plus proche que la plupart de mes camarades de classe, c'est bien lui. Bien que je le vouvoie, bien que je ne me confie pas (plus ? je l'ai fait, par le passé...) à lui.

You are my strawberry pie.
The one I would eat and swallow, without even thinking I was doing bad. Or well.


Au cinéma...
Le mieux, c'était la personne à côté de qui j'étais assise. Un certain F., un des premiers garçons dont je suis tombée amoureuse. Non, pas M. IP. [Il fait de la muscu, d'ailleurs ! <3] Je l'aimais vraiment, et profondément. J'aimais tout en lui. Absolument tout. Même aujourd'hui, je m'en souviens. Il ne me rendait pas mes sentiments, mais c'était un ami, et il l'est resté. Je reste inexplicablement touchée lorsqu'il me taquine. Je sais qu'il m'aime bien, parce qu'il ne réagit pas de la même manière avec l'autre vampiriseuse. Je reste une fille, cependant, alors que j'aurais aimé être un mec, à ses yeux, j'aurais aimé qu'il se sente aussi bien avec moi qu'avec un de ses amis mâles.

Non, la véritable nouveauté est que j'éprouve encore un désir inavouable lorsque je suis à côté de lui. Inavouable à lui, bien entendu. Je ne veux pas laisser de stupides pulsions envahir ma vie. Il a une odeur qui m'attire inexorablement. Et moi, j'accorde une importance particulière à l'odorat. J'avais envie de l'embrasser, de glisser la tête dans son cou, sur son épaule, de me laisser aller, comme ça, de respirer à pleins poumons son odeur (je lui ai dit qu'il sentait bon, la hooonte). Désir fou. Et oui, je le désire, ce F..

Et je sais aussi que j'ai peur d'évoluer avec lui, ou sans lui. La première fois ne fut déjà pas aisée...
Il reste l'un des premiers. Il ne s'oublie pas si facilement. Peut-être même qu'il ne s'oubliera jamais ; suis-je assez âgée pour le dire ?
[Je voudrais l'avoir à mes côtés, sa chaude odeur avec moi, et être dans un rêve.]

Aujourd'hui, j'ai vu le groupe. Enfin, une partie du groupe. Et c'était excellent.
On a mangé au fast-food (mon ventre...) et vu un film : Percy Jackson le voleur de foudre... Il y avait la dose d'humour, oui ! Et aussi la dose de beaux gosses... Miam ! En plus, j'adore la mythologie grecque. Bref, j'ai passé un bon moment, même si je pense qu'on peut se passer du film qui est clairement destiné un public jeune.

Un petit Flunch après pour un goûter...
Et je me rends compte que j'ai plus ou moins évité M. IP, et que le fait qu'il discute avec la vampiriseuse ne me dérange que peu, beaucoup moins qu'avant. Non, en vrai de vrai, j'aurais voulu qu'il me parle à moi, et non à elle. Amitié oblige.
Je crois être un peu guérie de mon obsession pour lui.

Sinon, j'ai envoyé un petit e-mail à ... euh... comment je l'appelle déjà ? Disons, A. (c'est comme F., je crois lui avoir donné un autre surnom mais passons). Je cite : « Ça fait plaisir d'avoir de tes nouvelles. [...] Passe le bonjour à tes amis virtuels ».
S'il savait à quel point ça me fait plaisir, il pourrait m'envoyer un minuscule mot chaque semaine. Je jure.

Et si en plus, J. s'y met en me disant plus ou moins la même chose... Je ne lui avais pas donné de nouvelles pendant un mois à peu près, et il me dit « J'ai cru que tu étais malade ». Et quand je lui dis qu'il peut refuser de me voir, je ne me vexerai pas, il m'a dit que j'étais folle de penser une chose pareille.

Merde quoi. Je les aime. Tous différemment.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/loganlermanpercyjacksonthumb.jpgMatez-moi cette gueule d'ange ! Aaah, je veux un mec comme lui.

Rétrospective.

Dimanche 14 février 2010

[ J'ai mis ma liste des 101 / 1001 en page statique, vous pouvez la retrouver ici. Merci pour tous les commentaires et le soutien ! ]

Alors, je suis en vacances. Ce qui me laisse perplexe, à vrai dire : je travaille encore moins en vacances qu'en période "normale".
Rendez-vous compte : quatre jours entiers que je suis arrivée chez moi, et je n'ai rien fait de constructif. Je n'ai pas fini mon habillage pour ici (il traîne depuis tellement longtemps et manque tant d'originalité que je vais pas m'en vanter), j'ai ajouté deux chapitres à mon histoire et continué d'écrire, doucement, je n'ai pas ouvert mes cahiers de langues ni de maths, et j'ai à peine feuilleté le livre de géographie / géopolitique, sans oublier que Freud et Nietzsche, ben... ils dorment un peu.

Par contre, j'ai une nouvelle coupe de cheveux, et des ongles (haha !). Et j'ai vu jusqu'à l'épisode 1 de la saison 7 de NCIS  !
Ah, et j'ai redécouvert le premier album de Jenifer, et mince quoi, j'aime beaucoup. Juste le premier, hein, je sais que j'ai le deuxième et que je n'aime qu'une seule chanson, et je n'ai pas écouté le troisième (but I came across the single and I hated it).
Oh, problème : je ne sais pas comment dire "to come across" en français. Je suis fatiguée.

Sinon, que dire de ma vie... 
J'ai fait du hors-forfait avec mon pilier (6 euros, c'est mon padre qui va pas être content), je suis beaucoup trop sortie et j'ai encore dépensé sans regarder, et puis je vais bientôt écrire mon bilan mensuel.

C'est difficile de se tenir les objectifs que l'on s'est soi-même fixé, à vrai dire. J'ai encore un peu de mal.
Ce soir, j'écris sur tous les films que j'ai vus depuis le début du mois de février. Ouille.

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