Je ne sous-estime absolument pas le pouvoir qu'a M. IP sur moi. J'en suis absolument consciente.

Mais cela me fait me poser des questions sur l'amitié fille-garçon. J'y ai toujours cru. J'ai toujours cru qu'il était possible qu'une amitié ne soit que platonique, sans qu'elle ne vire obligatoirement à l'amour, au sexe et à toutes ces extrémités... non amicales. Peut-être parce que je préfère la compagnie des mecs à celle des filles. Ils sont moins compliqués (j'en connais un rayon !), et plus abordables, peut-être plus terre-à-terre, plus logiques. Et c'est agréable de ne pas avoir à se dire "Tiens, est-ce que mon maquillage n'a pas coulé, est-ce que je suis bien arrangée... ?". Juste être naturelle.
Je n'ai pas une telle relation avec M. IP. Je veux dire, je ressens notre amitié comme une simple amitié, mais je sais qu'il m'attire incroyablement, je sais qu'il suffirait du verre de trop pour que je le lui dise. Même si je me sens naturelle avec lui. De l'extérieur, il s'agirait plus d'un jeu de séduction que d'une banale amitié.

Jusqu'où cela peut-il nous mener ? A-t-on délimité le territoire, défini les interdits ? Ai-je envie de le savoir, de toute façon ?

Incroyable comme les rêves peuvent me faire réfléchir.


But he makes me happy, he makes me smile, and he's got my heart...
Je ne sais si je t'ai déjà dit à quel point tu comptais pour moi. Les mots m'ont sûrement manqué. Il me semble impossible d'exprimer publiquement mes sentiments profonds pour toi. Je bafouillerai, je salirai la pureté de ton être par des mots insignifiants.
Ce n'est pas de l'amour, certes, non, pas dans le sens strict du terme où tous l'entendent... C'est l'amour selon notre sens. Le sens universel. Teinté d'une fascination sans bornes, d'une admiration remarquable, et d'une tendresse infinie.

Je ne te remercierai jamais assez pour avoir été présent lorsque je pensais être seule et ne pas te mériter ; pour me redonner confiance en moi par un petit regard, par un sourire, par des mots gentils et désintéressés. Tu me donnes envie de m'aimer, tu me rends presque belle, parce que tu penses que je suis ce que tu penses que je suis. Même si je suis infiniment moins belle que tu ne le penses.

T'avoir rencontré fut l'un des bonheurs de ma vie.
Te perdre... j'en ai peur. Et pourtant, je sais que cela va arriver un jour, cette année peut-être, je sais que malgré tes dires, malgré tes refus d'amour, tu rencontreras cette Elle* qui nous séparera et qui te capturera. Et il y a peu de chances qu'Elle* te mérite. Et je sais que je la détesterai.
Et je sais qu'une partie de moi t'aimera jusqu'à mon dernier souffle. Et je sais que je ne rencontrerai personne de supérieur à toi.

Lorsque j'ai l'impression de ne plus pouvoir aimer, il n'y a que toi que j'aime. Lorsque j'ai l'impression de ne plus sourire intérieurement, tu me redonnes un peu de joie. Lorsque j'ai l'impression que la réalité est trop dure, ta présence m'en estompe les angles.

M. IP, mon Idéal Psychologique, mon Idéal Partenaire. Je t'aime plus que je ne saurai le dire.


Écrit hier (ce qui est important). Posté ici.

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