Le bordel du samedi matin d'apres la toute petite cuite de la veille, et le jour de l'anniv'.
Samedi 10 septembre 2011
C'est l'article le plus long que j'ai jamais écrit, je crois.
Je ne sais pas quoi penser de mes affaires sentimentales. Peut-être est-il plus sain que je n'en pense rien, et que j'admette qu'elles ne sont pas saines, et que je les oublie. M'attacher alors que ce n'est pas sain risque de me perturber beaucoup plus que ce dont j'ai besoin pour mon année scolaire. Mais il m'intéresse. Il m'intéresse un peu trop pour le petit bout d'homme qu'il est. Et je ne veux pas qu'il m'intéresse. Je voudrais bien être une amie, mais pas rien qu'un peu plus, pas moins non plus. Pas une simple camarade de classe. Pas une fille avec qui il va coucher de temps en temps parce que c'est cool de faire l'amour.
Je suis exigeante, peut-être. Mais je me protège, il y a encore des armures autour de moi, je les ai renforcées après le départ de N., la désillusion, l'amour flottant dans les airs, comme un parfum que je porte depuis quelques mois et que je ne quitte pas. N. est constamment avec moi. Ceux qu'on aime ne nous quittent jamais.
Je n'ose pas m'avouer à moi-même le type de relations que je désire. Ou plutôt, j'ai beaucoup de mal à accepter que je sois une véritable chieuse dans la matière. Et il faut le dire, si je pose les mots dessus dans l'espace fermé/ouvert qu'est celui-ci, cela signifie assumer pleinement mes idées dans ce domaine. Attendez un peu, je viens à peine de réaffirmer que j'étais encore amoureuse de N., il faudra me laisser un peu de temps... Ou alors, un moment de solitude extrême.
Ou peut-être que je pourrais le dire maintenant : j'aimerais avoir une relation amicale sans ambiguïté, ou une relation amoureuse sans ambiguïté. J'en ai plus qu'assez de voguer entre ces deux eaux, de n'être ni amie ni amoureuse, d'avoir croisé un N. qui a bouleversé tous mes principes, d'avoir fréquenté un Mc. qui m'a montré qu'une relation idéale (pour moi) était possible. Je crois que mon idéal a changé, parce qu'il s'adapte à ce que je ressens pour l'autre. Je savais que je ne ressentirais pas la même chose pour N. que pour Mc., parce que pour N. ce fut instantané. Et pour mon fantasme actuel ?
Et pour M. IP ? Je vais le revoir, je le sais, lundi probablement. Je vais le revoir, et j'aimerais qu'on puisse repartir sur une relation amicale sans aucune ambiguïté, qu'on puisse s'aimer comme il disait, des frères et sœurs (et si possible, pas incestueux...) ! Mais, et je le sais, un gros point d'interrogation pèse sur nous et nos tentatives ratées d'amour. Parfois, je me dis que je sais ce qu'il a toujours voulu, que je sois "celle-ci" ; que j'en suis capable, par amitié profonde et respect pour lui. Souvent, je me sens comme une p*te qui ne fait cela que pour l'autre, et pas pour soi. Au fond, je n'en sais rien. Je l'aimais, mais il ne subsiste plus une trace de cet amour envahissant et destructeur. Juste cette amitié qui s'est rapidement dégradée.
Et peut-être que ce nouveau fantasme ne devrait pas en être un. Il devrait m'être interdit de crusher sur lui, pas aussi rapidement, pas aussi violemment. Quand on voit ce qui s'est passé avec le dernier Crush (qui est N.), on comprend aisément que je le refuse en bloc... Mes vrais crushs sont toujours très violents. Ils m'arrachent le cœur et me tordent les boyaux et j'en tombe souvent malade. Je sais que mes pleurs "pour N." étaient également renforcés à cause de la prépa', à la charge incroyable que je ressentais, qui me pesait énormément. Je sais qu'il n'est pas la seule cause de ces états d'âme, ces hauts et ces bas. Je sais aussi que c'est entièrement de ma faute, m'attacher à lui était une erreur monumentale dont j'ai payé le prix.
Je ne veux pas m'attacher, parce que c'est cela qui m'a entraînée vers le fond l'année dernière. L'attachement. Mon grand cœur. Une dépression. C'est peut-être ce que j'ai fait. Et comme j'enferme mon cœur dans une petite boîte, depuis si longtemps, cela s'est manifesté autrement ; ce non-travail, cette démotivation, ces crises de (non-)bouffe, cette lassitude, ce dédain, ce déni. Ces pleurs, aussi. Cet attachement profond à Chou, aussi.
Chou a été présent, je l'aime profondément, mais je sais que nos chemins sont différents. Que nos valeurs diffèrent profondément. Souvent, on dénigre notre relation amicale, comme s'il était impossible d'aimer quelqu'un sainement, sans aucun désir sexuel. Oh, je me fiche de ce que peuvent penser les autres. Mais j'y ai quand même réfléchi, et j'en ai conclu que les valeurs étaient importantes. Dieu, la famille, les homosexuels, la politique, sont autant d'idées sur lesquelles nous sommes différents. Et j'ai honte de scruter notre relation à la loupe, de la décortiquer, parce que sa présence m'est encore chère à présent, mais il n'est pas mon meilleur ami, je n'ai pas de meilleur ami. Il est le Chou, le garçon préféré si vous voulez. J'ai tellement pris l'habitude de le nommer "meilleur ami" pour simplifier les choses, quand je rencontre quelqu'un que je ne connais pas (et oui, je parle donc tout le temps de lui... il devrait être flatté).
Vous voyez, je parlais du nouveau fantasme (il faut que je lui trouve un surnom, appelons-le S.), et je finis par parler de Chou et tous les hommes de ma vie (presque, je n'ai pas évoqué J.), j'ai l'impression de vivre à travers ces personnes-là. Elles ont tellement forgé la personne que je suis à l'instant présent, au jour de mes 20 ans. Eux, je les ai choisis, pas ma famille. (Ma famille aussi est merveilleuse, je ne le dis pas assez.)
Je dois me taire lorsque je suis en présence de S., car ma vraie nature de fille naïve et stupide ressort. Je dois me taire parce que mon image devient écornée, déchirée. Je dois me taire parce que je ruine seule mes chances de devenir amie avec lui.
Mais j'ai parlé de mon anniversaire. Et il me dit qu'il pensera à moi, je déplore qu'il n'ait pas mon numéro (sous-entendu, ce serait bien que tu me le demandes très cher), il ne relève pas mais précise qu'il s'immiscera dans mes rêves. Mes rêves éveillés, ça va, il en a eu une petite part hier.
Je me trouve pitoyable. M'attacher comme ça à un esprit libre.
Je pensais que ce serait fini. J'avais prévu de ne regarder personne, de me plonger dans mon travail, tout en m'intéressant (faux-semblants...) aux personnes de la classe pour ne pas finir l'année seule (la solitude, ce n'est pas fait pour moi). Et comme partout sur Terre, des personnes intéressantes surgissent devant moi, et me perturbent.
Je me dois de rester forte.
J'oubliais presque : je voulais parler de Mc. au passage. Je lui ai envoyé un e-mail pour lui raconter ma petite rentrée (que vous pouvez retrouver, a priori je ne cesserai pas de parler de la prépa' ici mais ce blog est plus officiel, moins personnel), et il me dit en en-tête de sa réponse qu'il n'a pas de surnom pour moi et que ça le dérange.
Ce qui est étrange, c'est que je ne suis pas très surnoms, sauf avec mes amis. J'appelle génériquement les mecs que j'apprécie un peu "p'tit loup", j'appelle le garçon préféré Chou (et il me renvoie le même surnom), mon frère a le droit à sa petite déformation (parce que je passerai probablement ma vie avec lui dans les parages, alors bon...), mais les autres, je les appelle par leur prénom, point. Quand je donne un surnom à Mc., j'ai la désagréable impression de me forcer (et je le lui ai dit...), je ne trouve pas cela naturel. Oh, je sais que le temps pourrait rendre cela naturel, mais ce n'est pas ma priorité de travailler cela. Ici, ce ne sont pas des surnoms que je donne aux personnes, c'est une marque plus simple (abréviation de leur prénom) qui fait que c'est plus simple pour moi de les repérer et de garder une partie de leur anonymat.
Cette histoire de surnoms pour dire que oui, j'ai eu envie d'appeler S. "p'tit loup".
Ce qui prouve bien que je suis dans une misère un peu effroyable à mes yeux.
Et enfin : merci, ma chère Adelsmera. ♥ Pour tous tes mots, pour ta présence, pour ce que tu m'apportes, parce que tu es toujours là, même loin. Merci aussi de m'avoir dit, pour D., je suppose que pour N. c'était pire que pour M. IP parce que rien ne s'est jamais concrétisé, j'ai vécu sur des bribes de rêve et d'amitié si intense qu'elle était presque amoureuse.
Merci. ♥
De la douleur du manque de toi. Encore.
Jeudi 8 septembre 2011
18 août. J'écrivais quelques mots, si vrais.
Je me hais de ressentir le manque de toi.
Soyons honnêtes deux secondes, je te connais depuis 6 mois à peine, je ne t'ai pas fréquenté pendant 4, et je pense encore à toi, parfois.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Il ne s'est jamais rien passé, alors il faut que tu t'en ailles de ma tête. Tout de suite. Et que tu libères mon cœur. À l'instant même.
8 septembre. Je les ressens encore plus fort.
Tu me manques, N., p*tain c'est insupportable comment tu me manques. Je n'arrête pas de parler de toi, de ramener des petits détails à notre histoire. Si je pouvais donner pour que tu me reviennes, même amicalement... tu ne devines pas, tu ne peux pas, tu ne sais pas. J'aimerais tellement poser des mots pour TOUT te dire, sans aucun détour, t'avouer le moindre de mes sentiments, jusqu'à ce que tu comprennes.
C'était un de ces coups de foudre que je ne me pensais pas capable de ressentir vraiment. Bien sûr, j'ai déjà eu des coups de cœur, à sens unique, mais l'impression que tu m'as rendue, c'était l'une des plus belles du monde.
Je pense tellement à toi que j'ai en partie utilisé notre histoire pour une autre. Je voudrais, un jour, être capable de nous écrire. Avec le recul d'une personne qui n'est plus amoureuse.
Je crois, je n'en suis pas certaine, que je suis toujours amoureuse de toi. Même sans te voir. Je ne peux m'empêcher, inconsciemment, de comparer tous les mecs que je rencontre à toi, de reconnaître dans chaque mec croisé dans la rue une petite marque de toi, tes cheveux, ton odeur.
Je ne suis plus la même, tu as pris une part de moi le premier jour, et de croire que tu avais une petite amie n'a rien changé, cela n'a fait que retarder les questions et les tortures mentales.
Je croyais que j'étais guérie, le jour où tu m'as dit que tu allais voir ton ex et que je n'ai rien ressenti. Mais tu m'avais dit que tu m'enverrais un message, et tu ne l'as pas fait, et je viens de penser à l'instant que tu t'es peut-être remis avec elle, reniant tous tes principes et ce que tu disais, oubliant qu'elle t'avait fait tant de mal. Elle doit être une fille exceptionnelle, si elle est capable de te toucher.
Il faut croire que j'aime me torturer inutilement. J'ai essayé de me persuader, tu sais, de te couper de moi, comme on couperait un membre névrosé. Mais comment ? Comment oublier ?
Je sais que des millions de gens sont passés par des ruptures avant moi, amicales, amoureuses. Je sais que moi aussi, j'y arriverai. Mais pas si le souvenir de toi bat dans mon cœur comme pour me tenir en vie.
Efface-toi, je t'en supplie. Si tu m'aimes ne serait-ce qu'un tout petit peu, pars, fuis, tu n'as pas ta place ici.
Une petite pause pas meritee, mais prise quand meme.
Mardi 6 septembre 2011
Mardi 6 septembre, 13h08, je suis dans ma chambre, fais une pause avant de retourner pour 3 heures de DS, et viens de manger une tranche de jambon (40 g) et une barre céréalière au chocolat en guise de déjeuner. (Sinon je bois un thé tout chaud.)
J'ai fait 4 heures de DS d'histoire ce matin. Enfin, 3h45 tout en dormant 5 minutes au moins 3 ou 4 fois... le prof' m'a grillée, je l'ai vu me regarder à un moment quand j'ai relevé la tête, haha ! Je ne vous donne pas le sujet car je ne veux pas risquer que quelqu'un de ma classe tombe sur mon blog, mais cela concernait un monde occidental. Je crois que je n'ai pas été assez subtile, ni assez détaillé ce que je pensais, et encore moins écrit tout ce que je voulais écrire, mais bon.
C'est très étonnant que j'aie pu faire un brainstorming + un plan en une heure, j'ai commencé à rédiger tôt, j'avais une heure par partie, c'est largement suffisant (ce qui explique que j'ai dormi).
J'ai des pensées très étranges en DS d'histoire, vous savez. Une chanson de Yannick Noah (pourquoi ?) dans la tête, pendant un bon moment. Des pensées seskuelles honteusement explicites (souvenirs, souvenirs...) (à cause d'un garçon la veille, qui parlait d'une certaine position, argh je hais mes associations d'idées). Et un regard vers derrière (je suis à l'avant-dernier rang), un petit rire avec le voisin, et je fonds littéralement (j'ai quand même le droit de trouver un mec canon, mais pas dans la classe, non non non, ce serait une erreur vu ce que je suis prête à donner (pas grand-chose)). Une pensée pour le Chou, avec le 25 décembre 1991 et le petit rire, j'ai l'impression de retrouver un peu le courage qu'il me donnait par sa simple présence dans une salle de DS.
Je l'ai appelé hier, une grosse demi-heure je crois, ça m'a fait du bien de tout lui raconter. Il me manque ♥.
J'ai payé mes courses du midi avec un chèque, c'était la première fois que je faisais ça.
J'ai mal aux deux bras. Vraiment mal. J'ai porté 9 kilos à bout de bras pendant un moment quand même.
J'ai déjà monté 4 fois 4 étages jusqu'à maintenant, je ne suis pas sûre d'avoir besoin de faire du sport, haha.
J'ai fait 4 heures de DS d'histoire ce matin. Enfin, 3h45 tout en dormant 5 minutes au moins 3 ou 4 fois... le prof' m'a grillée, je l'ai vu me regarder à un moment quand j'ai relevé la tête, haha ! Je ne vous donne pas le sujet car je ne veux pas risquer que quelqu'un de ma classe tombe sur mon blog, mais cela concernait un monde occidental. Je crois que je n'ai pas été assez subtile, ni assez détaillé ce que je pensais, et encore moins écrit tout ce que je voulais écrire, mais bon.
C'est très étonnant que j'aie pu faire un brainstorming + un plan en une heure, j'ai commencé à rédiger tôt, j'avais une heure par partie, c'est largement suffisant (ce qui explique que j'ai dormi).
J'ai des pensées très étranges en DS d'histoire, vous savez. Une chanson de Yannick Noah (pourquoi ?) dans la tête, pendant un bon moment. Des pensées seskuelles honteusement explicites (souvenirs, souvenirs...) (à cause d'un garçon la veille, qui parlait d'une certaine position, argh je hais mes associations d'idées). Et un regard vers derrière (je suis à l'avant-dernier rang), un petit rire avec le voisin, et je fonds littéralement (j'ai quand même le droit de trouver un mec canon, mais pas dans la classe, non non non, ce serait une erreur vu ce que je suis prête à donner (pas grand-chose)). Une pensée pour le Chou, avec le 25 décembre 1991 et le petit rire, j'ai l'impression de retrouver un peu le courage qu'il me donnait par sa simple présence dans une salle de DS.
Je l'ai appelé hier, une grosse demi-heure je crois, ça m'a fait du bien de tout lui raconter. Il me manque ♥.
J'ai payé mes courses du midi avec un chèque, c'était la première fois que je faisais ça.
J'ai mal aux deux bras. Vraiment mal. J'ai porté 9 kilos à bout de bras pendant un moment quand même.
J'ai déjà monté 4 fois 4 étages jusqu'à maintenant, je ne suis pas sûre d'avoir besoin de faire du sport, haha.
Lundi 5 septembre 2011
Premier jour de la rentrée. Pas mal de grosses nouvelles. Un épuisement qui vient de me tomber dessus maintenant, mais je ne peux pas ne pas vous parler de ma grosse première journée, quand même. Je vais oublier beaucoup de petites choses à côté mais je suis vraiment claquée.
Le lycée est très beau, typiquement ancien, il est grand et il y a du parquet, ma salle de classe est située au troisième étape MAIS on doit monter à partir du -1, ce qui fait 4 étages à monter. (Sachant que je suis aussi au 4ème dans mon internat... je m'amuse !)
J'aime bien quelques gens de ma classe, ils ont l'air sympas, pas trop prise de tête, quelques BG repérés déjà (oui bon on passe son temps comme on peut, hein...). Pas mal de khûbes comme moi ! :D
Mais ce que je voulais surtout signaler, c'est que j'arrive à 8 heures, peinarde, et qu'on me dit "CONCOURS BLANC". Vous savez, c'est un peu bizarre quand on a passé trois mois sans ouvrir un seul cahier ou quoi que ce soit. Bref. Je n'ai fait que lire un tout petit peu, et encore !
À la limite, si on m'avait laissé une semaine, okay. Mais là, c'est cette semaine, genre ça a commencé ce matin avec la merveilleuse épreuve de maths (deux heures seulement, ça va). Bon, j'ai fini le devoir en entier (c'est la toute première fois que ça m'arrive depuis la prépa') (sauf une question mais on va se taire) (okay y'a pas mal de questions où je suis sûre de ne pas avoir donné assez de justifications mais elles sont claires dans ma tête (ou pas)) (j'arrête avec les parenthèses).
J'ai veillé jusqu'à 2h30 à peu près, j'ai fini le DM de maths à 1h30 grosso modo, j'ai donc dormi 5 heures, la veille d'une rentrée, je suis trop intelligente moi. En tout cas, là je tombe de sommeil, donc je vais relire un peu de géopolitique pour demain, et y aller comme je suis (haha). De toute façon, que je révise ou pas, cela ne va rien changer du tout ; et j'ai quand même 8 mois pour progresser de manière fulgurante (je l'espère).
Pour résumer : belle première journée dans ce nouveau lycée. ♥
Le lycée est très beau, typiquement ancien, il est grand et il y a du parquet, ma salle de classe est située au troisième étape MAIS on doit monter à partir du -1, ce qui fait 4 étages à monter. (Sachant que je suis aussi au 4ème dans mon internat... je m'amuse !)
J'aime bien quelques gens de ma classe, ils ont l'air sympas, pas trop prise de tête, quelques BG repérés déjà (oui bon on passe son temps comme on peut, hein...). Pas mal de khûbes comme moi ! :D
Mais ce que je voulais surtout signaler, c'est que j'arrive à 8 heures, peinarde, et qu'on me dit "CONCOURS BLANC". Vous savez, c'est un peu bizarre quand on a passé trois mois sans ouvrir un seul cahier ou quoi que ce soit. Bref. Je n'ai fait que lire un tout petit peu, et encore !
À la limite, si on m'avait laissé une semaine, okay. Mais là, c'est cette semaine, genre ça a commencé ce matin avec la merveilleuse épreuve de maths (deux heures seulement, ça va). Bon, j'ai fini le devoir en entier (c'est la toute première fois que ça m'arrive depuis la prépa') (sauf une question mais on va se taire) (okay y'a pas mal de questions où je suis sûre de ne pas avoir donné assez de justifications mais elles sont claires dans ma tête (ou pas)) (j'arrête avec les parenthèses).
J'ai veillé jusqu'à 2h30 à peu près, j'ai fini le DM de maths à 1h30 grosso modo, j'ai donc dormi 5 heures, la veille d'une rentrée, je suis trop intelligente moi. En tout cas, là je tombe de sommeil, donc je vais relire un peu de géopolitique pour demain, et y aller comme je suis (haha). De toute façon, que je révise ou pas, cela ne va rien changer du tout ; et j'ai quand même 8 mois pour progresser de manière fulgurante (je l'espère).
Pour résumer : belle première journée dans ce nouveau lycée. ♥
Jeudi 1er septembre 2011
J'ai un nouveau compte Twitter. Je maintiens celui de ce blog pour poster mes petits bonheurs, toujours, mais j'ai créé un compte que vous pouvez suivre et où je raconte beaucoup, beaucoup, beaucoup de bêtises en tout genre (envoyez-moi un message ici si vous le voulez, j'essaie de ne pas trop relier ma vie virtuelle connue IRL et ma vie virtuelle totalement virtuelle).
Je me suis remise à un exercice tout à l'heure et avec grand plaisir, j'ai constaté que je me souvenais de pas mal de choses. C'est un soulagement immense que de savoir que je ne suis pas si nulle que cela, même si je fais une troisième année. J'ai la trouille de ne pas réussir à m'accrocher en maths, c'est ma seule vraie peur, j'ai toujours tant détesté cette matière...
Je continue à écrire des fanfictions. Je suis en plein milieu d'un HPDM que j'espère cohérent, mais qui n'avance pas pour l'instant, car j'ai un projet (que je suis censée finir dans deux jours, AHEM) qui me bloque et qui m'ôte quelque espoir d'être un jour capable d'écrire une histoire avec des instructions précises, sans y mettre ma propre vision des personnages. Après avoir mis le dernier point du premier chapitre, il y a quelques minutes, j'étais contente. J'ai relu, et relu, et je me suis rendue compte que ce n'était pas ce que je pourrais offrir, que c'était trop improbable.
Y'a plus qu'à écrire le deuxième chapitre, et faire comme si le premier n'existait pas.
Je doute un peu de ma bonne condition d'amie. Je suis une piètre amie, décidément.
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