La tip top cool où il se lâche !
Ma préférée du monde du moment.
Le piano, le piano ! *o*
Le film Once.
Il m'a littéralement frappée. C'était un véritable coup dans le cœur que ce film, magique.
J'ai un faible pour les films avec de la vraie musique dedans, des vraies chansons, comme Les chansons d'amour ou La belle personne (de Christophe Honoré). Ici, la musique est excellentissime, et le mot est faible. J'écoute la musique en boucle, tellement, trop, et mon frère n'arrête pas de me dire que c'est nul, toujours répétitif, et pas sorcier à jouer. Peut-être, mais la beauté est encore présente, plus encore, même. Vous me direz que c'est nul de tomber amoureuse d'une chanson ou d'un film. Et c'est vrai.
Mais c'est le cas. Je suis amoureuse de ce film, comme je l'ai été de Juno. Peut-être même plus.
Ce n'est pas une histoire d'amour, pas une vraie. [Ceux qui parlent tchèque, à un moment, comprendront.] On sent, bien sûr, l'amour qui se dégage, un amour insatiable, qui m'a fait sourire même, mais chacun des deux protagonistes (entend-on même leur nom, à un moment ?) est destiné à un(e) autre.
C'est l'amour de la musique. La musique avant tout.
De belles images, un beau paysage, une belle ville qu'est Dublin.
C'est une belle incursion dans les rêves de deux personnes. Un aspirateur, une motocyclette, une guitare, un piano, ça change une vie.
Je donnerais beaucoup pour trouver mon âme sœur, comme eux deux se sont trouvés.
Ce film est la preuve qu'on peut faire quelque chose de splendide avec un "petit" budget.
Les acteurs principaux sont Glen Hanshad ("The guy") et Markéta Irglová ("The girl"). Le film est sorti en 2007. Il est irlandais, et tourné par John Carney.
J'ai repris Grey's. Je m'étais arrêtée à la fin de la saison 3, un été. C'était il y a un bout de temps... Je regardais ça la nuit, je m'en souviens très bien... jusqu'à quatre heures du matin !
Une sortie plutôt sympa avec quelques-uns de la classe, aux Halles. On a d'ailleurs failli arriver en retard à la projection, la salle était pleine et nous nous sommes dispersés à huit comme on pouvait dans la salle... Et à peine installés, le film commençait !