L'avant-première de The Woman in Black, à Paris, le 7 février 2012.
J'y suis allée avec quelques copines Pottines. J'en retrouve une à la gare de Lyon, nous nous rendons directement à Opéra, prenons un chocolat chaud à Starbucks (♥) et marchons un peu dans la rue (je m'extasie devant des jouets, haha), puis nous en retrouvons une autre, et attendons en discutant au niveau des barrières. Quelques minutes plus tard (le temps passe lentement quand il fait froid, genre beaucoup (j'ai regretté de ne pas avoir mis deux paires de chaussettes, l'une par-dessus l'autre)), la dernière nous rejoint. Il est presque 20 heures lorsque nous nous décidons à ne plus attendre dans le froid au niveau du tapis rouge, et entrons dans la salle (où il fait chaud et où je retrouve la sensation de mes pieds). Nous dévorons un immense paquet de pop corn en couinant un peu quand il arrive (rectification : nous avons toutes crié... même moi, oui, j'ai fangirlé, désolée je suis de ce genre-là).

Après avoir remonté toute l'allée / le tapis noir (il est vraiment trop chou ♥), il arrive et GNNNNNNNN il est trop beau, il est trop charmant, il est trop mignon, il est trop chouuuuu ! ! ! ! (Oui je me calme, pardon.) Je tiens à préciser que je ne pensais pas qu'il me ferait un effet pareil, j'ai gloussé comme une c*nne. Sinon, il est quand même petit, mais je ne suis pas grande du tout alors je m'en moque ! Il nous fait un petit discours où nous apprenons entre autres qu'il faut aller voir le film à la Saint-Valentin pour pouvoir se réfugier dans les bras de l'amoureux, qu'il est un homme dans ce film et plus un garçon, qu'il n'aime pas les cafards, qu'il était heureux que les fans de Harry Potter le suivaient car il avait peur de ne pas être suivi en fait.
Et bam, le film commence.

Le film était génial. Je trouve. Cela n'engage que moi. Je lui ai même mis 8/10 sur SensCritique.
Je vais essayer de ne rien dévoiler de l'intrigue, mais comme vous avez pu le deviner, c'est un film d'horreur (un peu). Pour ma part, je suis restée quelque peu impassible (extérieurement) devant la plupart des scènes, même celles qui déclenchaient un frisson en moi. Je me suis pourtant souvent surprise à avoir le cœur légèrement soulevé, par empathie avec le personnage principal (Arthur Kipps, joué par Daniel Radcliffe). Et j'ai également beaucoup apprécié la présence et le jeu de Ciarán Hinds, qui joue aussi Aberforth Dumbledore dans HP...

Si Daniel est la principale raison qui fait que je suis allée à l'AP, pour voir comment il se débrouillait dans un autre rôle (oui, je sais, ce n'est pas le seul qu'il a tenu... mais je n'avais pas l'argent pour aller voir Equus (bien que j'aurais aimé je crois) ni How to succeed à Broadway...), et je dois avouer que je suis agréablement surprise. Il tranche totalement, c'est probablement son costume et son rôle (ce qui est normal aussi), et il sonne juste dans son rôle. Ni trop, ni trop peu. Le syndrome du héros, j'ai failli le crier aussi, et une de ses répliques m'a carrément fait sourire. Mais il est bon, et je le suivrai dans ses autres projets !

Quant à la réalisation, j'ai aimé. Cette manière de faire deviner les choses par avance est plaisante, et même quand on s'attend à ce qui va se passer, on peut être étonné. La lumière est bien gérée je trouve (c'est sombre, mais pas trop, pas comme dans HP où parfois je me tuais les yeux... désolée mauvaise comparaison), les plans sont suggestifs, et les quelques rares surprises font mouche.
C'est une adaptation de livre. Et j'aime énormément la fin, d'amour (♥), nous avons tous applaudi ! Elle est belle et surprenante, moi je l'ai énormément appréciée.

Pour la première avant-première d'un film de ma vie, j'ai bien choisi, je suis vraiment contente.

http://26.media.tumblr.com/tumblr_lz3035evuB1qgdgruo3_500.jpgI love his tie. ♥

Bon, et, histoire de ne pas faire un suspens minable, c'est aussi ce jour-là que j'ai dormi dans le même lit que SP, parce que je suis arrivée une minute trop tard à l'internat, et qu'il a été adorable. Nous avons ensuite séché les deux premières heures du lendemain, je crois que personne ne sait que nous avons dormi ensemble (en toute chasteté hein, c'est mon Super Pote). Mais c'était cool de pouvoir me confier à lui (encore) sur ce qui ne va pas dans la prépa' (tout, quoi). Il me fait du bien, quand nous nous parlons. Et je suis jalouse quand il traîne avec d'autres filles. Mais cela fera l'objet d'un autre chapitre. Ou pas, finalement, y'a pas grand-chose à en tirer / analyser.

Note pour plus tard.

Mercredi 8 février 2012

Je me sens mieux sans me sentir mieux.
Il faut que je vous raconte le jour où Daniel Radcliffe était à moins de 100 mètres de moi.
Il faut que je vous raconte le jour où j'ai partagé le lit de SP.

Voilà, j'ai fait un teasing de m*rde .

Je pense à vous, en tout cas ♥

Tears roll and I feel good.

Mardi 7 février 2012


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Just let me laugh out loud. Be right back.

Je suis amoureuse de Eleven. Quand j'ai regardé le premier épisode il y a un mois, à peu près, je ne pensais pas que ce serait si intense. Et puis j'ai trouvé son sourire tellement craquant, et j'ai eu envie de lui enlever ses fringues (c'est normal ? je crois que c'est la frustration qui parle). Et maintenant que j'ai descendu toute la saison cinq...
Je l'ai follement aimé, pour des raisons stupides, un peu. Parce qu'il me fait penser à N., tout le temps, par ses mimiques, par son sourire, et c'est pour cela que je n'ai regardé que la saison cinq (et que je vais continuer avec la six). Sa mâchoire, aussi. Je passais une journée de m*rde le jour où j'ai décidé de regarder le premier épisode, et... paf. Je me sentais bien, après. Vraiment. Pas que N. me manquait moins, mais la douleur de son absence était moins présente, je suis devenue sereine vis-à-vis de lui (même si je pense encore tout le temps à lui et que je me demande ce que ce serait si nous nous parlions encore aujourd'hui).

Je l'ai tellement aimé parce qu'il me faisait rire, parce qu'il me faisait pleurer, parce que mon cœur se déchirait, parce qu'il m'a fait croire en mes goûts aussi, parce que c'est bien de rêver, parce que mes larmes m'ont fait du bien lorsque je les ai versées. Parce que "bow ties are cool", parce que les acteurs britanniques sont géniaux, génialissimes. C'est tellement difficile de ne pas l'aimer, en fait.

Je ne sais pas vraiment comment vous convaincre de vous mettre à cette série si ce n'est pas déjà fait. Ce que je voulais faire, c'est surtout exprimer à quel point elle m'aide, moi, à me détacher de ma vie.

Je suis rarement obsédée lorsque j'entreprends quelque chose, mais là, j'ai eu du mal à ne pas regarder en classe, ou dès que j'avais un moment de libre.

Don't know if already posted.

Jeudi 2 février 2012

Well you can't get what you want
But you can get me...



I feel like I'm in love. I'm losing track of myself. I don't know anymore who I am and what I really want. I'm losing myself, I'm drowning and feel so helpless. I need someone to keep me alive, "really" alive. Tears are coming up. I need to bury them. I need to write to someone who don't know me at all. I can't write to you.
I feel like I'm in love. Doubts and pain. I'm trying not to think about him. To forget how it was to feel incredibly great. To forgive him for being such an asshole (no other word). But that's not the point. The point is, I feel like I'm in love. But I don't know if I really am. I feel this characteristic hole in the heart, the absolute need to hug him and smell him. I miss him so much it hurts.
I feel like I'm in love. But I don't want to. I know how much it can hurt me, I know how hard I can be hit, how broken I will be after everything. He won't return me any favour, he doesn't like me as a friend, let's not say a lover. He is everything I want, everything I lust for, everything perfect for me.

He is everything that's wrong in my current life.



Je ne sais pas d'où ça sort, je sais de qui je parle, je sais de quand ça date (septembre 2011). C'est déjà pas mal, non ?
J'avais envie de le poster. Un peu comme pour me prouver que je suis capable.

N., you were so incredible to me. Maybe you still are, leaving a trace in my heart. I have no right to say it, but I miss you. I miss you so much, your smell, the tickle in my heart when I see you, the features of your face, your laugh and your guitar and your voice, your concern about me, I miss you so so so so so much. And when I think of everything we shared, it seems to be so perfect that I can't accept the fact it's over. We were over even before we started to be something consistant. You cannot not miss our moments. Please, you do not.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/onmelancholyhillbyauexisd35q6qm.jpg

Ma petite magicienne ♥. Dès que je lui en ai parlé, les choses se sont détendues, comme si, de là où elle est, à quelques centaines de kilomètres, elle pouvait vraiment faire quelque chose.
Changer mon état d'esprit, au moins. Je me sens stupide de l'avoir pris pour moi, même si c'était vraiment difficile de faire autrement, de faire comme si ce n'était que la prépa', comme me l'a dit SP. Le pire étant que je comprends ce que peut faire la prépa' toute seule.
Mais moi, j'ai besoin de mes amis pour me rendre heureuse, j'ai besoin d'eux, comme je l'ai dit à SP tout à l'heure, quand il plaisantait à propos d'un autre garçon. « Je n'ai pas besoin de lui pour me rendre heureuse, je t'ai toi. » Et j'aime beaucoup comment ces mots me viennent toujours naturellement en bouche, sans que je puisse en rougir ou en avoir honte. Je me souviens de quand je lui ai dit, sans jamais le regretter, « I love you », parce que c'est vrai. Et quand il me répond, toujours, inévitablement, « C'est gentil ! », je trouve ça trop mignon.

S. est revenu. J'ai l'impression de danser sur des charbons ardents, comme s'il supportait très longtemps cette amitié proche, et d'un coup, paf, il a besoin d'air et s'échappe quelque temps sur un sol moins brûlant. Puis il revient, comme si rien ne s'était passé. Comme si ces trois, quatre derniers jours n'existaient pas. Et je ne lui en veux pas, ou juste un peu. Je suis légèrement en colère contre lui, oui, c'est vrai. Je suis beaucoup plus facilement en colère ces derniers temps. Et je lui ai montré que je lui en voulais, que je n'allais pas accepter cela aussi facilement.
Qu'il comprenne ou pas que je lui en veuille, c'est son problème.
Mais je suis ravie qu'il soit là, ravie de pouvoir lui dire et montrer (encore) à quel point je l'apprécie.
C'est vraiment quelqu'un de génial, généreux au possible, entier. Je ne comprends pas pourquoi j'ai eu mal de sa "pause", c'est un être humain lui aussi, il n'est pas un robot (même si, parfois, j'en doute au vu de sa perfection). (Il m'a chanté Lorie tout à l'heure, c'est du génie de sa part. Et il me fascine, réellement, profondément.)

Et elle, ma petite magicienne. Mille cœurs ne suffiraient pas. On discute tous les soirs, et vraiment, elle me manquerait si je ne pouvais pas lui envoyer de SMS ou avoir une ou deux heures tous les soirs, même pour ne rien dire. Juste savoir qu'elle est là et peut lire mes messages. Son enthousiasme et son optimisme font pendant à mon "moi" noirci ces derniers temps, cela fait du bien. Et elle sait tellement tout sur S., c'est parfait de pouvoir se confier de cette manière. Sans qu'elle ne me juge pour être proche d'un garçon qui ne sera jamais mien, parce qu'elle comprend l'amitié que je peux ressentir pour lui.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/Summertimebyt0x1cd0LLy.jpgMy dears are wonderful.

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