She took a small silver wreathe and pinned it onto me
She said this one will bring you love
I don’t know if it’s true but I keep it for good luck...


J'aurais des tonnes de choses à vous dire. La vie déroule son cours de manière si compliquée, des ruisseaux qui s'en vont dans tous les sens puis qui reviennent dans mon propre fleuve, des multiples canaux qui s'assèchent, d'autres dont le flux grossit petit à petit. Ma vie devient un arbre, dont le tronc est la prépa', la sève mon courage et ma motivation, les branches mes activités, les feuilles mes bonheurs.
Et plus j'avance, plus cela devient feuillu. Et j'aime cela. J'aime le fait que la sève ne se perde pas autant que cela, que les branches ne se cassent pas, que les feuilles soient toujours présentes. J'espère être un palmier, un de ceux qui ne se fanent pas en hiver. Je ne dois jamais flétrir.

Ce n'est que le début, oui, au début c'est différent. Mais j'y crois, moi. À moitié, mais plus je vais avancer, plus je vais y croire. J'ai envie d'y croire, je n'ai pas envie de rester passive face à ma vie. Comme si je ne pouvais rien faire pour la changer. Cette vision-là, je ne la veux plus. Pas aujourd'hui.

J'ai pris conscience de beaucoup de choses, récemment. J'ai changé, en une année, j'ai grandi, et j'ai appris à m'ouvrir un peu au monde, finalement. À solidifier mes idées philosophiques, à ouvrir mes horizons philosophiques et généraux, à poser un peu plus mes idées politiques (même si je n'aime toujours pas spécialement m'ériger contre les avis très "droite conservateur" de certains...). J'ai appris à me concentrer sur moi-même, à perdre confiance en moi tout en la regagnant, à clarifier ce qui se passe dans mon cœur.

Mon cœur. Des choses à vous dire sur lui, dis donc. Mais rien qui n'a véritablement changé, je crois. J'ai simplement un peu plus de recul, en général... j'arrive à mieux percevoir les choses, je crois.
J'ai dépassé M. IP depuis si longtemps, en réalité. Je m'accrochais, comme une désespérée à un souvenir. Parce que je n'avais que les souvenirs pour aimer, pour être amoureuse. Rien que les souvenirs, ma vie étant un désert sentimental, mon cœur étant une terre aride.
J'ai été une amoureuse dans l'âme. Lorsque j'ai rencontré ce garçon, Thomas, en 3ème, je suis tombée amoureuse. J'ai mis un an à m'en remettre. Et puis je suis tombée sur ZYX. Une autre année. Et enfin, M. IP. Une année de plus, un peu plus même. Et depuis un an, un an et demi, deux ans peut-être, mon cœur a cessé de s'emballer, sauf pour des amitiés. J'ai pu, un moment, être intéressée par mon garçon préféré, mais finalement non, ce fut une envie passagère, très éphémère.
J'ai été, mais je ne suis plus, et ça me manque, ça recommence à me manquer.

Je suis, cette année, dans le couloir d'un certain J., que nous allons nommer l'Espagnol. Je l'ai toujours trouvé magnifiquement beau, vous savez, j'en parle ici, il a dans ses yeux cette douceur et dans la voix cet accent, il a dans son attitude cette nonchalance du Sud et le "Salut" poli qu'il m'offre dès que nous nous croisons (même l'année dernière, oui). Et pourtant, pas une seconde, je ne me suis dit "Tiens, si je sortais avec lui, à quoi ça ressemblerait ?". Je serais capable de l'aimer, je l'ai déjà écrit, mais c'est la force des choses qui ferait cela. Je serais capable de l'aimer parce que j'ai besoin d'aimer quelqu'un.
Le deuxième dont j'aurais aimé parler, c'est P., et j'ai tellement à dire sur P. que je vais faire court. Le professeur de maths particulier, le beau gosse, le gentil, l'adorable P.. Objectivement, quand je l'ai vu pour la première fois, je me suis dit qu'il était vraiment beau, mais ça s'arrêtait là, dans ma tête et dans mon cœur. Et oui, ça m'a perturbée, tout de même, rien qu'un peu.

Alors non, je refuse de trouver quelqu'un à tout prix. Je trouve simplement cela magique de me sentir à nouveau capable d'aimer.

Et je travaille, beaucoup, un peu, selon les visions, mais je travaille. J'essaie de me tenir à mes deux heures quotidiennes. Pas toujours deux heures de maths, parfois quatre de maths, mais souvent des maths, très souvent.
Un peu d'anglais et d'espagnol ce soir, deux heures. Je me suis surprise à travailler très rapidement, entre 22 heures et minuit, un quart d'heure pour une version d'espagnol, le même temps pour un thème d'espagnol, et dix minutes pour un thème d'anglais. Ces moutures sont presque définitives, à mes yeux. Et ce n'est pas plus mal. ( D'ailleurs j'ai ramené une belle note en anglais, un 12,5, je suis vraiment contente. )
Un planning de maths que j'ai intérêt à suivre ce week-end. Plein de choses à régler, deux DM, des tonnes d'exercices à recopier ou à refaire, des fiches à reprendre.
J'ai de moins en moins peur des mathématiques. Sans P., je n'y serai pas forcément arrivée. J'exagère, en réalité, ce n'est pas que j'en ai moins peur, c'est que j'ai un tout petit plus confiance en mes capacités. Sa présence, son existence, son soutien, ça me fait du bien. Le fait qu'il me dise, aussi, de lui écrire quand je le souhaite, ça me touche beaucoup. Et je me suis retenue, jeudi soir.

Et puis, vous avais-je parlé d'une commande effectuée chez E.L.F ? Après avoir attendu toute la semaine, la commande est enfin arrivée. J'ai pu vernir mes ongles d'une couleur foncée (Smoky Brown), ces ongles que je cesse peu à peu de ronger, et dont je deviens de plus en plus fière. J'ai pu me maquiller grâce à un eyeliner en feutre, j'adore, c'est très simple à appliquer et ça tient bien. J'ai pu tester le mascara, mais je n'ai pas testé sa tenue waterproof, je ne ressens pas l'envie de pleurer en ce moment. J'ai pu enduire mes lèvres de gloss, un très beau gloss un peu mentholé qui me fait carrément regretter d'avoir acheté le Bourgeois quelques mois plus tôt.
E.L.F, c'est beau, c'est bien, et c'est très peu cher.

J'ai pris un verre avec mon bizu', j'ai du mal à croire que c'est moi la plus "grande", ça me fait toujours bizarre lorsque je me rends compte que je suis en deuxième année, et sereine, alors que la première année m'a un peu démoralisée. J'aime beaucoup ce bizu', il est dynamique, gentil, adorable !
Je ne mange que peu, et je ne dors que peu. Par exemple, aujourd'hui, 5 heures de sommeil, 7 heures de cours, et plus de 24 heures où je suis restée éveillée, sans compter cette productivité relative dans mes devoirs. Je dois avouer avec beaucoup de réticence que je m'impressionne moi-même. En plus, je me suis forcée à manger un vrai sandwich à midi et à le finir, j'étais contente. Bon, le soir, je me suis contentée d'une part de tarte aux pommes.

J'ai beaucoup écrit, vous avez de la lecture pour la semaine là. Mais on ne sait jamais, si j'ai une subite envie durant la semaine de raconter ma vie, encore... je reviendrai.
Et cette chanson est merveilleuse, comme d'autres du même artiste. Je fonds, je craque, et j'adore.

Please, don't take off my smile.

Samedi 11 septembre 2010


Cette nouvelle année. L'année de toutes les promesses, l'année de toutes les douleurs, l'année de tous mes questionnements.
J'ai une envie au fond du cœur, à part celle de réussir. J'ai envie d'aimer.
Et retrouver cela, vous n'imaginez pas à quel point cela me rend heureuse. Plus heureuse que l'amour en lui-même, je suppose. Je n'ai pas de souvenirs merveilleux de ce que l'amour est. J'ai l'amitié dans ma vie, plus forte qu'avant, et je bénis mes amis, c'est eux que j'aime.
J'ai l'impression d'avoir grandi, alors que non, je suis toujours la même. Je n'ai rien vécu de grandiose.

Vous savez, ce p*tain de cœur qui gonfle, qui nous rappelle son existence.
Vous savez, ces mots qu'on retient, mais qu'on pense si fort qu'on espère qu'en face, l'autre le sait.

J'en ai des vertiges, en écrivant.

J'ai une chambre plus belle, plus grande, plus plaisante. J'écris sous le soleil, ses rayons parvenant à ma chambre et à mon bureau. Mon bras gauche est plein de cette chaleur rassurante, enivrante. Et Voisine est encore présente, c'est le must du must, je ne pouvais rêver mieux.
Je ne me sens plus autant mal à l'aise dans mon corps. Je ne l'aime toujours pas, mais c'est juste une partie de moi. La rejeter n'engendrera rien de bon. L'accepter, peut-être que si... Je n'aime rien en moi, mais ce n'est pas une raison pour faire une fixation dessus. Et puis, je travaille à ne plus ronger mes ongles... c'est bien ça, non ? ^^ Je travaille dessus, oui, j'ai même acheté plein de vernis.

L'année dernière, j'avais rencontré un bel homme, qui me plaisait physiquement. Et il a toujours cet effet sur moi, ce qui veut bien dire que je ne suis pas sans cœur, n'est-ce pas, et que je suis capable d'aimer, hein ?
Je crois même que je serais capable de l'aimer, lui. Mais non, je ne vais pas tenter le diable et me lancer dans une entreprise totalement irréfléchie avec quelqu'un que je connais à peine et que je croise de temps en temps dans le couloir. Il est aimable, il est magnifique, il est espagnol, et il a ce très léger accent (tout petit) qui me colle un sourire de malade quand je l'entends. Et surtout, pas une seule fois depuis qu'on se connaît, il ne me dit pas "Salut" quand on se croise, même si c'est la deuxième ou troisième fois de la journée.

Le seul point négatif de ce nouveau couloir d'internat dans lequel j'ai emménagé, c'est qu'il y a des hommes. Partout. Et surtout, dans les toilettes. C'est le plus gênant, à vrai dire.
La chambre est une sorte de mini-studio, avec une entrée où il y a une armoire (assez grande pour nous deux), puis l'entrée de la minuscule salle de bain (mais dotée d'une douche !), et deux portes qui donnent sur nos deux chambres. Oui, cette année, plus de rideau qui nous sépare, mais bel et bien un mur ! Et le bureau est magnifique, presque plus que l'année dernière.

Je ne me sens pas trop mal pour l'instant.
Et il est déjà 14h30, ce qui veut dire que j'ai dépassé mon horaire limite de 30 minutes pour commencer à travailler. I suck quand je m'y mets...

C'est mon anniversaiiiiireuh !

Vendredi 10 septembre 2010

Oh, it's what you do to me...


Rien de tel qu'une grasse matinée pour commencer le jour de son anniversaire. Non, c'est vrai ! Le mieux, encore, c'est de se lever sans réveil, à 7h30, alors que le réveil lui-même est censé sonner à 8h58.
De se préparer en toute lenteur d'ici 10 heures, le début des cours.
D'aller déjeuner alors avec cette autre qui a eu son anniversaire dans la semaine.
D'entendre ces Joyeux anniversaire, peut-être donnés sans cœur, mais peu importe. Mes amis me l'ont dit, quoi de plus important ? Bien sûr, il manque F., il manque J., mais j'ai tellement plus pour eux que peu m'importe qu'ils ne m'aient rien dit. Je ne connais pas les leurs, de toute façon...

C'était ma journée, vous le savez. La journée de mes 19 ans. Et j'avoue avoir écrit, la veille, que je ne voulais pas avoir 19 ans. Que j'aurais aimé sauter de 18 à 20 ans, comme ça, sans passer par cette case maudite des 19. La veille, j'ai eu cet accès de déprime intense. Toute la journée.
Mais oui, le 10, ça s'est subitement arrangé. Alors non, je ne vais pas faire le récit de ce qui ne va pas.

Vers 20 heures, j'ai dégusté le gâteau à la fraise, et vers 21h30, nous sommes allés au restaurant. Je n'ai pas autant mangé depuis très longtemps, surtout en comparant à toute ma semaine (ténue côté alimentation !). J'ai pris un cocktail maison, bu deux verres de vin rouge, une soupe pékinoise, mangé un bol de riz en entier, et une glace chez Amorino. La soirée était vraiment plaisante. Mon récit est court mais j'ai adoré devenir rouge sous l'effet du piment, de la chaleur et du vin, et redevenir "normale" en quelques minutes à peine. J'aime l'idée de pouvoir boire en tenant l'alcool, cette idée qui se reconfirme (je dis que c'est génétique !).

J'avais peur de cette journée, peur d'avoir 19 ans, mais finalement, c'était des 19 ans parfaits.

J'ai dû écrire le mot "Merci" des dizaines de fois hier, mais ici, je vais extrapoler. Comme d'habitude.
Mais ne pas le penser en l'écrivant, pour moi, c'est le summum de ce que je déteste faire. J'aimerais que les gens qui n'en ont rien à faire de moi ne me le disent pas. Surtout si c'est pour le faire par MP.
Enfin, mes SMS et mon mur FB ont adoré... ^^


M. IP me manque, aujourd'hui. Aujourd'hui seulement ? Son chou à la crème anglaise (comprendre : moi) ne sait pas. Après tout, moi, j'y crois, dans un an on se retrouve. On ne s'aime pas, mais on se retrouve. Un an. Rien que d'y penser, de penser à ce que j'ai assaini en un an (et ce qui m'a pris une bonne partie de mon énergie l'année dernière), à tout ce que j'ai passé pour en être là aujourd'hui, j'ai l'orgueil d'être fière du chemin parcouru.
Darling est-elle revenue ? Je n'y crois qu'à moitié, surtout après tout ce temps. Mais elle, je l'ai aimée si fort... La perdre m'a fait mal, j'aurais aimé son soutien durant l'année, j'aurais aimé qu'elle soit présente lors de mes coups de blues, j'aurais aimé pouvoir lui raconter tout ce que j'avais envie de dire à quelqu'un.

Je pourrais continuer avec une pensée pour tous, vraiment, négative ou positive.
Je ne vais qu'ajouter des noms, certains, des petits commentaires, des bouts de cœur.
Nic Chouchou Nic, merci, j'ai eu des relents de ces deux années passées ensemble et je n'en retiens que les bons moments, même si les mauvais ont existé entre nous. ZYX, je crois toujours en tes promesses, et ça me fait toujours mal, sauf que savoir que tu ne veux pas me faire de mal est censé arranger les choses. Censé. Cela n'empêche rien au fait que tu me manques. D., bien sûr, comment pourrais-je t'oublier ? Je ne peux rien dire de plus sur toi, je n'arriverais pas à te "rendre hommage". Mon Chou, de l'année dernière, mon cœur bat toujours aussi fort pour toi, l'une de mes amitiés les plus belles, éphémères et intenses. Merci P. pour ton message, merci de me l'avoir souhaité alors qu'on ne se connaît que depuis 10 jours. Ma choupinette, la force de mon affection pour toi ne se mesure pas aux minutes que nous avons passées ensemble, trop peu. Ma Pareille, toujours présente après ces quatre ans d'amitié, ces heures passées au téléphone me font du bien, à parler de rien et de tout avec toi. Toi, le second J., j'ai tant de mal à croire que tu es encore présent alors qu'on s'est vus en pointillés l'année passée, c'est fou. Mais j'ai une pensée émue pour toi. Et ma rock star, pour finir, parce que je pense à toi, un peu, que je me demande comment tu vas.
Je lance une petite mention spéciale à ces bouts d'chou, que j'ai connus lorsqu'ils avaient 10 ans, 11 ans peut-être, et qui sont toujours là dans mon entourage à 16 ans (B., Q., et le psychopathe aussi...) !
Les autres, que dire sur vous, à part que je pense fort à vous, et que j'aimerais tant être plus présente pour vous !

À vous, les Cowblogueurs, merci. Rémi, merci du fond du cœur. Manon, ça m'a beaucoup touchée.
There's only one thing to do,
Three words for you,
I love you...



Je suis fatiguée. Fatiguée de ne pas réussir. Le temps file trop vite, je n'ai pas le temps de poster ici parce que je le prends pour faire autre chose.

La Belgique, c'était top cool, j'aime beaucoup Bruxelles (c'est là que j'ai dormi), j'ai visité Bruges, j'ai vu les ports de Zeebrugge, et j'ai flâné quelques heures sur la plage de Blankenberge. J'ai même fait du shopping dans Bruxelles... Deux nuits pour tout visiter, ça ne nous laisse pas grand-chose... Mais à Bruges, un tour de bateau et c'est vite fait hein (on s'est baladés quand même, don't worry). J'ai acheté du chocolat, gourmande que je suis. J'ai mangé quelques gaufres. J'ai vu le Manneken Pis pour la énième fois de ma vie. J'ai mangé des moules frites et bu de la bière.

Et ma vie part en cacahouètes.
Aujourd'hui, j'irai chez le dentiste. Au moins ça de pris. Demain, après-demain et le jour d'après, c'est Rock en Seine. Et ça m'angoisse d'avance. Je sais pertinemment que je ne devrais pas y aller. J'ai pris conscience trop tard que mes devoirs n'étaient pas terminés, loin de là.
Et mon cœur reste vide.
Je n'ai toujours pas envie que quelqu'un vienne le remplir, qui que ce soit, parce que cela fait bien longtemps qu'aucun coup de cœur réel n'a franchi les barrières de mon cœur, barrières involontairement mises en place. Je suis parfaitement à l'aise, ainsi. Et c'est ce qui compte, plus que mes aspirations d'antan. La folie de l'amour, très peu pour moi. Pire, je n'y crois plus. Et j'espère que le prochain avec lequel j'y croirai m'ôtera ces peurs irrationnelles.

Pas de BG de la semaine, cette semaine : je ne me sentais pas très bien les jours précédents, mon moral et ma santé ont pris un coup. Maintenant ça va mieux hein, mais tout de même.

Je sature, j'ai du mal à tenir ce blog éveillé (rien qu'à voir les articles postés entre les BG de la semaine, ça se voit). Je sais que ce n'est pas un devoir et que ce blog est censé me faire du bien... Je suis censée poster quand j'en ai envie, pour dire ce que je veux.
Bref, je me pose trop de questions je crois.
J'aimerais avoir des journées de 48 heures pour pouvoir écrire, avancer mes récits, continuer mes lettres, toutes ces choses que je fais moins si je travaille (mes cours). En parlant des cours, la rentrée approche, l'angoissomètre monte...

J'ai fini, totalement, la saison 6 de Grey's Anatomy, je me sens un peu vidée. J'arrive au bout de la saison 7 de NCIS. Finalement, j'aurais bien avancé, je suis contente ! J'hésite à me lancer dans une autre série, mais mon temps m'étant compté, je dois laisser passer cette lubie-là.
J'avais dit que je ne regarderai pas la saison 7 de GA (en raison d'une absence particulière), mais je ne peux pas, je me suis attachée à Avery, j'aime beaucoup la nouvelle Cristina, et Meredith m'attendrit plus qu'elle ne m'agace. Je trouve que Shepherd est de plus en plus beau, et que Sloan est aussi de plus en plus charmant... Bref, c'est la première série que j'ai vraiment regardé en enchaînant les épisodes.

J'ai eu un grooos coup de cœur pour Dirty Pretty Things aujourd'hui ! Je m'en veux de ne pas les avoir écoutés plus tôt...

J'ai envie d'écrire, tout le temps, d'avancer, d'entrer dans le vif du sujet, j'ai envie, mais comme toujours lorsque j'écris une histoire un peu conséquente, j'ai besoin d'établir un background. Et ça m'embête royalement...

Au fait, je pars bientôt en vacances, j'essaierai cette fois de vous faire un compte-rendu, parce que j'ai gardé Londres pour ma tête et mon cœur, comme une sale égoïste que je suis.

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