I was following the pack
All swallowed in their coats
With scarves of red tied ’round their throats
To keep their little heads
From fallin’ in the snow,
And I turned ’round and there you go
And, Michael, you would fall
And turn the white snow red as strawberries
In the summertime...

 

(Vous avez le droit à toutes les paroles, oui.)

J'ai un petit coup de gueule : je n'aime pas la traduction de 1984 d'Orwell dans la collection Folio. J'ai sauté de mon fauteuil, parfois, surtout lorsque j'ai lu « À quelle heure laisses-tu le travail ? » (ce qui, d'après mes estimations, donne en anglais quelque chose comme « ... do you leave ... »). Je me suis dit, méchante, "tu t'es servie de Google ou quoi, traductrice ?" (oui, c'est une traductrice). Enfin, il y a d'autres moments, mais je ne m'en souviens plus. En tout cas, je n'aime pas la trad' de Folio, je savais que j'aurais dû le lire en anglais...

Mais j'ai adoré 1984, vraiment, c'est une perle de la littérature.
Et vous savez quoi ? Cela me fait un livre en moins sur ma liste de lecture estivale pour la rentrée !

J'ai également étudié la moitié de la partie « Analytique du beau » de Kant, c'est une horreur, je n'ai pas réussi à continuer ma prise de notes. Je la finirai demain, mais vraiment, ce n'est pas une lecture plaisir (après tout, c'est normal, je m'y attendais).
Comme attendu, je n'ai rien compris à De l'âme d'Aristote, et F. le confirme, c'est une lecture très difficile. Je vais juste le lire sans le ficher, je crois.

J'ai fini ma fiche du chapitre 9 pour F., je commence le chapitre 5 ( le désordre, c'est la vie ! ) de la Géopolitique des Amériques.
Je termine Alice's Adventures in Wonderland demain, aussi, et je finis de ficher 1984 (allez... un effort !).

J'ai plein de choses à faire dis donc, et ce sera un dimanche... (ce qui ne change rien, je suis en vacances)

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/TheSeabyJeanGenie.jpgSans rire, j'aimerais être là, maintenant, et prendre un bain de minuit.
Je me suis rappelée que cela faisait longtemps que je n'avais pas parlé d'un album coup de cœur. Alors, aujourd'hui, je vais vous parler de Train, même si tout le monde connaît plus ou moins.

J'ai connu Train par leur tube Drops of Jupiter.

Ils ont récemment sorti un nouvel album, Save me, San Francisco, et j'ai immédiatement accroché au premier single qui en est sorti, Hey, Soul Sister.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/Images/TrainSaveMeSanFrancisco.jpg
Je trouve le single rythmé, et j'aime beaucoup les paroles, l'instrumental, et la voix du chanteur (oui, ça joue).

Train s'est séparé pendant un moment, avant de revenir en force durant l'année 2009. Ils viennent de San Francisco, et ont produit plusieurs tubes (mais je ne vais pas vous les mettre). Il y a du ukulélé dans leur musique, c'est ce qui (à mes yeux) la rend toute mignonne !

Voici leur site officiel, et leur MySpace, et ici, vous pouvez écouter leur album sur Deezer.

J'ai écouté leur dernier album en boucle, je l'adore ! La couverture est sympa, et puis j'aime énormément certaines autres chansons, c'est un très bel album je trouve !

Vous êtes libres de me faire savoir ce que vous en pensez !
Rapidement, je vous dirai que je suis une quiche en ce moment.
Je ne tiens plus ce blog (ou presque plus), et je ne vais même plus commenter les vôtres (mais je les lis, je les lis !).
J'ai un énorme problème de connexion qui me handicape plutôt pour aller sur Internet, et j'ai une addiction pour certains forums sur lesquels je poste tout le temps.

Je n'oublie pas ma rubrique du BG de la semaine, qui est (dans le meilleur des cas) mise à jour tous les jeudis.
Mais j'oublie en partie les compte-rendus mensuels (je ne peux plus, c'est trop), et j'arrête de me donner trop de "travail" avec les reviews de tous les films et les livres qui passent sous mes yeux, c'est trop.
Je n'aurai pas la moitié de ma liste des 101 choses à faire en 1001 jours, ou peut-être que si, après la prépa'. Sûrement, même. J'ai toujours détesté avoir l'impression de ne pas vivre.

Je traverse juste une période de "désert", je n'ai envie de rien, et je ne fais pas grand-chose pour changer.
Je lis un peu, pour la rentrée et mon année scolaire, et je travaille aussi, pour réussir mon année. Voilà, c'est le sens de mon été. :)

Je délire un peu, aussi, sur M. IP, parce que je suis née pour ça, pour délirer sur lui, même après ma stupide (et splendide) lettre que je ne lui enverrai jamais. Et je pense à toutes mes relations si spéciales, à tout ce que j'ai vécu amicalement parlant, et je me rends compte que décidément, je suis une fille qui s'investit trop. Je me suis trop investie avec Darling, avec A., avec J., avec M. IP. Et je n'ai plus de cœur, je n'ai plus cœur à m'investir dans quelque relation que ce soit. J'ai trop peur d'avoir un nouveau J. dans ma vie, je ne sais pas si je supporterai à nouveau cet état. L'année dernière je le pouvais, je n'avais rien de mieux à penser, rien de mieux à vivre, c'était la Terminale, l'insouciance, et je me sentais mal. Cette année, je ne peux pas me sentir mal, c'est un fait, c'est ma volonté, alors c'est ça, je m'interdis d'avoir un nouveau J. dans ma vie.
Sauf que, bien sûr, J. est l'une des meilleures choses qui me soient jamais arrivées.
Goddamn
I miss that girl...



Je sais que cet article vient en retard, beaucoup trop en retard, mais j'ai besoin de consigner cette dernière semaine, m'en souvenir pour de vrai, voir que oui, je sais vivre, encore ! Il est pour moi, cet article, parce que je me doute bien que cela n'intéresse pas grand-monde :).
Oui, cet article est enthousiaste, très mal écrit (et c'est un euphémisme, un gamin de 6 ans aurait mieux fait), avec trop de points d'exclamation, mais je l'aime, parce qu'il reflète ce qui a été, pour moi, une semaine de rêve.
Une semaine comme je les aime, et comme je voudrais que ma vie se déroule. Pleine d'activités, pleine d'amis, pleine de sourires, pleine de rires, pleine d'espoir.
Je les aime tous, ceux qui ont passé cette semaine avec moi. Pas de mention spéciale, mon cœur déborde d'amour et d'affection.

Lundi 21 juin : Fête de la musique ! 20h30, on quitte le lycée (une demi-heure en retard), alors que toute la classe s'est donné rendez-vous, chacun finit avec son "groupe" habituel. Le Cerveau, surtout, devient le centre de notre attention (il n'a que des filles autour de lui)... Quais de Seine, révélations coquines (ou pas) et personnelles (j'ai vraiment fait plein de conneries dans ma prime jeunesse fougueuse...), et dodo à 3h30 du matin (geeeek) (donc, un peu moins de quatre heures de sommeil, je dirais 3h30 mais je ne veux pas effrayer). Le lendemain fut difficile, en effet, les mathématiques m'ont un peu fatiguée.

Mardi 22 juin : Soirée supposée être dansante avec une Mad' et sa copine, donc dîner préalable (salade, c'est moins lourd que le reste), puis nous allons du côté de chez moi pour la soirée. La soirée ne nous tente pas, le bar est très sombre et aucun bruit ne sort, nous supposons également que c'est le genre de bar où la conso' est à 10 euros et quelque, bref, non ! Par la suite, quais de Seine et on boit un Coca' tout en critiquant tous les couples devant nous (des tonnes !). Ce fut bien drôle, et vraiment sympathique ! Ensuite, parvis de Notre-Dame, nous regardons (comme un film) des personnes jouer avec le feu, woah! Après, je vais au Monop' acheter à manger, une bouteille d'eau gazeuse rose (<3), du yaourt à boire qui vient de la ferme, et un peu à manger pour Voisine.

Mercredi 23 juin : Après une dizaine de mois sans le voir, peut-être un an même, je retrouve enfin F. ! <3 J'ai l'air d'une fille totalement folle, mais c'est vrai, je suis terriblement heureuse. Je n'explique pas mon amitié pour lui, elle est là et c'est tout. 15h30 à Nation, nous décidons d'aller voir les oraux de l'ESCP (une école de commerce). L'oral de mathématiques est très moyen, il faut l'avouer (même qu'on mettrait 3 à la demoiselle, c'est pour dire !), et l'anglais est pas mal (un texte apparemment très difficile et décousu sur les jouets Happy Meal à DoMac).
En soirée, dîner de classe organisé chez une camarade, mais avec les grèves de transport, j'abandonne. Je refuse de mettre 50 euros dans un taxi, et je ne veux pas dormir chez elle. Je mets déjà beaucoup trop de temps pour revenir au lycée, depuis l'ESCP... À la place, je souhaitais voir Kiss & Kill, il n'est diffusé nulle part dans les cinémas proches de chez moi, donc je regarde À bout de souffle de Godard. Et j'aime énormément ! L'actrice est une merveille, fort accent étranger (ça me fait toujours fondre) et elle est très belle. Voisine rentre d'un galant rendez-vous, et me conte ce que le garçon a dit, c'est épique ! (Après l'avoir embrassée (c'était pour lui le premier baiser), le charmant garçon dit « Mais c'est nul ! » ou un truc du genre.)

Jeudi 24 juin : C'est une journée différente de mes prévisions, très différente. Pas de verre, ni de cinéma, mais un déjeuner avec deux personnes, un garçon que je vois finalement assez régulièrement et une fille qui ne faisait pas particulièrement partie de mes proches amies. C'est détendu, comme nos états d'esprit ! Nous avons pénétré dans les locaux de Descartes ! Et le garçon vient avec moi dans le lycée, les camarades de classe crient à l'intrus (ce qui me fait sourire !), ils font un planning pour le prochain WE d'inté'.
Dernier cours de l'année, français, 14h30 - 16h, j'écris des SMS à D. (je m'en souviens car je voulais tuer celui qui parlait), et après le cours, direction jardin du Luxembourg, ça fait du bien de se poser avec un livre de mythologie gréco-latine et de s'informer. J'adore ces après-midi paisibles avec deux filles paisibles !
Le soir, j'avais prévu de dîner avec Le Cerveau (qui est passé dans ma chambre chercher sa bouteille d'alcool, hum). Voisine arrive finalement, ils jouent tous les deux au ballon, puis Le Cerveau dîne finalement avec son papa ! Comme je ne veux pas gâcher ma soirée, sur un coup de tête, c'est l'ascension de l'Arc de Triomphe, avec une autre copine. Pas si fatiguant, à vrai dire ! J'aime beaucoup la vie qu'on peut avoir du haut, on voit même notre lycée (enfin, c'est probablement le coin de notre lycée, à vrai dire) !

Vendredi 25 juin : Déjeuner avec deux Poulettes, deux Mad' ! Fast-food bien sûr, autant que ce soit gras hein ! C'est drôle et léger, j'adore ces filles ! Je me lève vers 10 heures, comme une fleur, glande dans mon lit, et à 11h, je me dis qu'il est peut-être temps de partir. Le train arrive à 15, je ne veux pas le louper, je l'ai eu ! :D
En soirée, cinéma avec Voisine, on devait voir Kiss & Kill (j'en avais tellement envie !), mais toujours ce problème, il ne passe dans aucun des cinémas du côté de chez moi. o_O (Quoi, Ashton est trop superficiel pour vous ?) Alors, nous nous rabattons sur L'Arnacœur ! Génial, ce film ! Et puis, Romain Duris peut être beau comme il peut être moyen, je trouve, et c'est typiquement ce qui me plaît chez lui (cherchez l'erreur...) ! Par contre, cette fin... bouh ! Nul !
Retour tardif à la maison. Ça y est, LLG, c'est fini pour cette année. Pincement au cœur, oui... Chambre vide, bizarre.

Samedi 26 juin : Point d'orgue... Journée longue, longue ! Matinée chez le médecin, pour un certificat scolaire stupide, c'est une remplaçante, je l'aime bien ! Cours de harpe, mon examen est enfin programmé, je suis heureuse ! J'avais très envie de le passer ; maintenant, il ne manque plus que les autres œuvres. J'ai une Nocturne de Glinka au programme, je sens que je vais la détester (le rythme est dégueulasse, je l'avais tenté trois ou quatre ans plus tôt...) !
Ensuite, je vois un ami, qui n'a pas de surnom parce que finalement, j'en parle peu, on discute pendant une heure, c'est super de le voir ! Je ne savais plus trop comment nous nous étions connus, apparemment par une personne que nous connaissions en commun et à qui nous ne parlons plus du tout... du tout. C'est drôle comme situation ! Ce mec est futur étudiant en prépa' ! (Il a eu son bac' mention B, je suis conteeente !)
Vers 16h30, je sors de chez moi, je prends le bus et je vais vers D., pour un cinéma. Dog Pound, un film génial, et une excellente après-midi, je me sens légère et j'ai beaucoup apprécié (hum) sa présence ! Il me fait rire, c'est agréable.
Je marche une demi-heure pour arriver à l'hôtel où deux amies et moi (celles avec qui je fais ce genre de soirées au moins deux fois par an !), allons passer la nuit ! Nous dînons dans un restaurant de chaîne de grillades, dont la couleur dominante est le rouge, pas la Paille mais l'autre, et un dessert pour trois ! Le burger fut énorme. Dans la chambre, les chips sont là, le chocolat aussi, les films bien sûr (Pénélope et Confessions d'une accro au shopping !), sans oublier l'alcool ! Le Martini rosato, il est pour moi. Et la vodka aussi. (J'me sens pochtronne, là...)
Le lendemain, téléphone à Papa pour qu'il nous ramène (et nous épargne une heure au moins de trajet) ! Une douche, enfiiiin, c'est le revival là ! ^^

Vous n'aurez pas le reste, je ne sais plus s'il est intéressant. Je crois que non...
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Ceci n'est pas une lettre que je lui enverrai. Elle est trop personnelle, et trop honnête, et trop méchante pour que je le fasse. Il n'a pas besoin de cela.
Moi, j'en avais besoin. Moi, j'avais enfin besoin de cicatriser, de fermer, de guérir pour de vrai.

Et je crois que cela passe par le passé. Assainir le passé, c'est le rendre un peu meilleur.

J'ai envie d'avancer, en réalité. Je ne peux plus... Attendre qu'il vienne, c'est trop improbable, c'est me donner une excuse pour me justifier. Justifier ma peur du futur, mon attirance pour ceux qui sont hors de ma portée.



Cher Florian,

Écrire ces deux premiers mots, c'est donner un coup à mon cœur. Écraser tout espoir possible entre toi et moi. Terminer un travail que j'ai mis des mois à commencer, et qui a traîné durant... Mais j'ai besoin qu'entre nous, ce soit totalement clair, totalement terminé. Pas un seul nanogramme de chance, d'attirance ou pire, d'amour.

J'ai été amoureuse de toi tellement longtemps que je ne sais pas si je suis capable d'avancer sans toi. Et pourtant, il le faut, réellement. Je ne suis plus amoureuse de toi, je ne le suis plus depuis longtemps, je m'en suis rendue compte le jour où je t'ai demandé de me répondre, "oui ou non" ; déjà, ce jour-là, ma thérapie de toi avait commencé, c'était mon adage « être sûre pour oublier ». Je ne reviendrai pas sur l'historique de mes sentiments, je ne pense pas que cela soit intéressant, ni possible à établir.

Cependant, je n'avais pas réussi à t'oublier pour autant, je n'étais pas passée outre notre relation, j'avais conservé l'espoir... l'espoir de quoi ? Que tu aies envie de moi, encore une fois, que tu m'aimes, peut-être, que nous nous transformions en FF, sûrement. Je te faisais confiance, aveuglément, contre l'avis de tous. Je te croyais alors que tous autour de moi, tous ceux qui connaissaient un minimum (ou plus qu'un minimum) notre relation savaient très bien que si je me raccrochais à toi, j'en souffrirais encore plus. Et moi, je me souviens à quel point j'ai souffert.
C'était l'amour, après tout, un véritable amour qui m'a attrapée et étouffée durant cette glorieuse année de Terminale. L'amour qui te cache tous les défauts, l'amour qui ne veut rien voir, ni entendre, l'amour qui dicte les passions.

Oui, sois-en fier, Florian, sois-le, parce que je ne t'aimerai plus jamais de la même manière. Je ne sais même pas si l'amitié est possible entre nous, si elle ne sera pas plus destructrice de notre complicité qu'autre chose, si on ne se tombera pas dessus à cause de notre passé trop lourd pour être uniquement conservé dans nos mémoires.
Je sais que j'ai compté à tes yeux et que je compterai toujours, et j'aimerais pouvoir te dire que tu compteras de la même manière, mais c'est rigoureusement faux. Tu n'es pas mon premier baiser, tu n'es pas la première personne dont je tombe amoureuse, et tu n'es pas mon premier corps-à-corps manqué. Sauf que, bien sûr, tu es celui qui m'a le plus marqué. (Sauf pour le baiser.)

Tu n'aurais jamais su m'aimer, pas comme je mérite de l'être, pas comme je voudrais l'être. Tu m'aurais aimée à moitié, si tant est que tu puisses seulement m'aimer. Tu m'aurais jalousée, sûrement, tu aurais eu peur que ta virilité s'écrase face à moi, à ce que tu as érigé de moi.
Le problème est que je t'idéalisais, et que tu m'idéalisais. Ça n'aurait tout simplement jamais marché entre nous, on aurait été condamnés à aimer des images de nous-mêmes, de pâles copies embellies.

Notre relation est un échec à mes yeux. Peu importe ce que tu penses de mon avis. Malgré tout, cela n'enlève rien au charme de celle-ci. J'ai simplement eu l'impression, une deuxième fois, de ne pas être allée jusqu'au bout. L'impression de ne pas avoir appris de mes erreurs. La stagnation, c'est médiocre, et je ne veux pas être médiocre.
Si tu me rendais la part d'amour-propre que je t'ai laissée, je vivrais bien mieux, beaucoup plus à l'aise avec la personne que je suis. Ce sont mes déceptions amoureuses qui m'ont formée, et je ne les dénigre pas. Jamais. Je me sens loin de ce que j'avais imaginé être, quand même. Et tout l'amour-propre du monde ne réglera pas ce problème, j'en suis consciente.

Je veux oublier les travers de ce qui nous a construit, totalement. Me retourner en arrière, et ne pas te regarder avec mépris, ni avec haine. Je veux t'évaluer à ta juste valeur, et ne pas te rabaisser sans cesse.
Or, actuellement, ce n'est pas le cas. Absolument pas.

Je crois que je ne cesserai jamais de t'en vouloir pour ce que moi, je n'ai pas fait.
Je crois que je voudrais t'embrasser une dernière fois, pour de vrai, pour tourner la page.

Je ne veux plus avoir affaire à toi sentimentalement parlant.

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