You're wrong when it's right.



Juste un peu m'imprégner de Lui.
Alors que je l'ai porté dans mon cœur pendant longtemps. Très haut. Très fort.

Il est plus heureux, en ce moment. Je dirais même qu'il est très heureux. Il est très amical, très ouvert, très souriant.
Et saperlipopette, son sourire le rend tout simplement divin. Il n'y a pas d'autre mot, plus fort que celui-ci. Lorsque je le vois sourire, je me sens tellement... légère !
D'autres disent qu'il s'agit de son rire. Peu m'importe. Le résultat est le même : c'est déjà le mec le plus beau de mon entourage (sans vouloir faire de jaloux), alors s'il sourit, il est imbattable.

Ce qu'il fait (ou dit) me fait sourire, et je crois que je ressens de la tendresse pour lui. Une immense tendresse. Pas exactement le genre qui fait que je ne peux rien lui refuser, mais plutôt le genre qui fait que tout ce qu'il dit est intéressant et mignon. Sa prestance, discrète et à la fois si imposante, sa posture, que je trouve majestueuse... Je ne saisis pas ce qui me plaît chez lui. Peut-être un tout.

Non, je ne suis pas amoureuse. On va dire que je ne le suis plus. Mais il suffirait d'un pas grand-chose, pour que ce charme qui fait effet sur moi devienne incontrôlable.

Je ne me suis jamais sentie aussi bien en sa présence que depuis cette année. Que depuis cette sorte de cure de désintox', durant presque un mois, pendant laquelle je l'évitais plus ou moins, et surtout, surtout ! je n'enclenchais aucun contact physique. Ni avec lui, ni avec d'autres.
Et je crois que cette période m'a vraiment apporté une nouvelle approche de mes relations avec Eux.

Son amitié m'est précieuse. C'est elle qui m'a fait me rendre compte que j'existais encore à leurs yeux. Et c'était... beau. Tout simplement. Surtout, parce que je n'allais pas super bien. Parce que je venais de voir s'écrouler tout un fichu monde d'amitiés déguisées. Ce petit message qui m'a regonflée à bloc alors que j'allais sombrer dans le pathétique. Ce put*** de sourire approbateur lorsque j'ai proposé cette aprèm' entre nous. Cette folie, pour partir en voyage avec Eux. Cette information, comme quoi j'étais invitée à l'anniv'. Sans aucun commentaire de sa part. Comme si c'était naturel que je vienne... 
C'était cette attitude-là qui m'avait séduite chez lui. Cette capacité à cacher ses sentiments, et à la fois à être si attentionné (avec tous).
Je crois que j'aurais aimé être un mec.

Ce sont Eux qui me font basculer. Dans le pathétique ou dans la sublimation. Dans les Enfers ou dans un paradis artificiel.
 

J'écoute Taylor Swift, avec sa chanson Love story, et j'ai adoré dès la première écoute. Je suis tombée par hasard sur une de ses musiques... Avec grand plaisir =) !

Je n'ai décidément pas eu le temps de parler de ma petite vie, cette semaine. Je commence tout juste à pouvoir avoir un regard un tant soit peu objectif...

Je me demande si ce blog a encore un sens.
Après tout, je me sens mal, et je ne me suis jamais sentie aussi mal, et je n'ai jamais eu aussi peu envie de tenir un blog.

Et je n'ai jamais autant fait confiance à ceux qui m'entouraient.
Non, ce n'est pas exactement ça.
Le groupe, Eux*, je m'en suis éloignée. Peut-être parce que mon problème actuel (ou mes problèmes...) trouvent leur racine à l'intérieur de ce groupe.
Quant à d'autres, comme mes "carrés", je m'en suis rapprochée. Ils savent ce qui me tracasse, et même, ils voient lorsque je suis de mauvaise humeur, même quand je le nie haut et fort.
Il y a aussi cet étrange énergumène, l'homonyme de mon ex-mari... Lui aussi, il sait tout, et il voit lorsque je déprime, bien que je n'en aie pas l'impression interne (ou alors je me le cache). Le rapprochement a été très rapide, et relativement complet. Je me sens bien avec lui, ni jugée ni dépréciée, comme avec J.... C'est étrange comme on peut se rapprocher des personnes ainsi. Il m'a confié quelques trucs, et il sait plus de mon bouddhiste que n'importe qui d'autre. Je lui fais instinctivement confiance... [et je ne pense même pas au jour où il me trahira.]
J'ai cru me rendre compte que le destin m'intimait de ne pas me rapprocher de J., mais c'est quelque chose que je me refuse à faire. L'influence de J. sur moi est extrêmement grande, et il ne s'en rend pas compte. Logique, c'est un mec. J'en ai tout de même assez des coïncidences mal placées, elles se cumulent ces derniers temps.
Et puis, le plus discret de la triplette. J'ai grillé mon forfait avec lui. Ce qui m'a diantrement étonnée. Certes, je ne me suis pas confiée à lui, mais il m'aide à respirer, et ça fait plaisir de s'échapper. Sa présence est plaisante =).

ZYX, inconsciemment, m'a redonnée un peu de couleur. Il m'a fait sentir que je n'étais pas rejetée, finalement, que j'avais mes anciennes attaches et qu'elles tenaient toujours. Ah, si j'étais encore amoureuse de lui, est-ce que ce serait différent ? Est-ce que le sourire du sportif me toucherait moins ? Est-ce que je serais plus souriante, plus vive, plus excitée, plus folle ? Est-ce qu'il m'aimerait comme une amie, maintenant que j'ai changé ?
Changé, durant les grandes vacances. Mais c'est un autre sujet, et on s'écarte.

Ma psy officielle, je l'aime tellement ! Darling... Je ne sais pas ce que je ferai sans elle.

But only his presence is enough to make things right (or, at least, better).

Plus le temps passe, et plus il m'accroïse, ce mec. Je ne peux pas y échapper. Et je devrais vouloir y échapper.
Mais je ne suis pas logique, je suis dingue comme "il" (Toinou chériii !) est endormi, et je m'accomode très bien de cette douceur. C'est mon soleil du moment. Ce qui parvient à me faire sourire, encore, ce sont mes interactions avec ce sportif.
Bien que le destin s'acharne à s'opposer à mon rapprochement avec lui (peut-être que ce n'est pas sans raison), je lutte. Peut-être que ce sera ma destruction finale (à force de le fréquenter, je m'attache...), mais c'est ma rédemption actuelle. Il me fait sentir plus humaine. Il m'aide à accepter...
Je n'en suis pas amoureuse. C'est une sorte de certitude ancrée ; dictée par le besoin, aussi. Il ne faut pas que je le sois. Comme elles me le font si gentiment remarquer, je m'avance vers un terrain glissant, et ne suis pas loin de tomber (ça, c'est moi qui le rajoute). Certes, il est mignon, gentil, adorable, honnête, cynique (mais ce qu'il dénonce est tellement vrai que je ne peux pas répliquer), grand, léger, à l'écoute, discret... en un mot, il est fantastique. Et alors ?
S'il m'apporte le sourire, c'est parce que le sien est tellement pur. Grandiose, adorable, et honnête. On sent qu'il veut vraiment le donner. C'est peut-être cette force-là qu'il me transmet lorsque nous sommes ensemble en cours, alors qu'il est encore plus avachi que moi, que j'ai le courage et la faculté de me réveiller pour participer (et pas lui)... C'est le plus beau sourire qu'il m'ait été donné de voir. Il surpasse même celui de ZYX, qui avait pourtant la palme depuis la 2nde !

Oui, le destin s'oppose à nous. J'ai quelques anecdotes, qui ne sont absolument pas des preuves. Le portable récalcitrant en est une... (C'est le téléphone qui ne veut pas envoyer de SMS depuis la salle de philo -_-'.) L'absence de la prof d'espagnol (alors que j'avais souhaité la veille au soir qu'elle soit présente) en est une autre. C'est ce que ma psy (celle qui protège nos rois des petits pions xD) appelle "une coïncidence mal placée".
Mais le destin n'est pas définitivement écrit. C'est à nous de le modifier s'il ne nous plaît pas, de forcer la main, et il apparaît que nous le faisons très bien. Il pourrait ne pas répondre à mes messages inutiles, du genre « Encore une demi-heure =) » ou « T'avais raison, il neige », mais il le fait, et humoristiquement parfois. De même, alors que je lui avais demandé de venir vendredi matin pour l'espagnol parce que ma vie est une véritable débandade et que j'ai pensé qu'il serait d'une grande abilité à me répondre (bon, je ne l'ai pas formulé ainsi, mais c'était tout comme) et après avoir insisté une fois, il m'a dit « Plus tard ». J'ai demandé « Promis ? », il me répond « Promis. » Et, comme si ça ne suffisait pas (alors que c'était amplement suffisant !), il m'envoie un SMS pour s'excuser de ne pas venir (alors que c'est moi qui devrais m'excuser de lui avoir demandé ça, maintenant que j'y pense :s), et pour me dire qu'il sera là si j'ai « besoin de parler, [me] libérer et [me] confier ». Le tout dans un langage français correct (et pas SMS) : c'est le respect total !

Non, vraiment, j'apprécie sa présence dans ma vie. Elle me réchauffe le cœur et me remonte le moral.
C'est ça (entre autres), l'amitié, être présent quand ça va pas...
You’re beautiful, that’s for sure,
You’re lovely but it’s not for sure.




Il y a une chose que Charline m'a dite et que j'ai fini par approuver après réflexion : si n'importe quel autre mec s'était comporté avec moi de la même manière que M. IP l'a fait, on lui aurait dit qu'il avait joué avec moi. Et j'aurais pu le qualifier de salaud, connard, triple buse, idiot irrespectueux sans aucun tact et égoïste.
Et moi qui croyais qu'il était responsable...
J'ai pas foncé, je sais. Mais avec lui qui me disait de n'en parler à personne et qui commençait à partir loin de moi, j'allais pas lui forcer la main. Et peut-être que je voulais que ce soit différent. Réfléchi.

Je crois que j'ai quelques sentiments. Mais de quel genre sont-ils pour que j'accepte de le voir sans trop broncher, pour que j'aie accepté d'attendre ? Et d'ailleurs, pourquoi n'étais-je pas plus pressée ? Parce que je l'aimais ou parce que je ne l'aimais pas ? C'est peut-être possible, après tout. J'ai cru au fait qu'il soit parfait (pour moi). Je ne sais plus.
Je me surprends à penser qu'il est pire qu'une fille. Genre je veux bien, et puis non.
Qu'est-ce qu'il m'a pris de m'éprendre d'un mec pareil ? Et en règle générale, qu'est-ce qu'il me prend de m'éprendre de ceux qui ne peuvent pas être avec moi ? Comme si je faisais exprès de me lancer sur tout ce(ux) qui ne me va (vont) pas !

Enfin, vaut mieux lui que le sportif sexy. Oui, je sais, je ne ressens pas de l'amour (enfin, j'espère...). Je suis juste assez accro pour lui envoyer des SMS alors que j'ai eu son numéro y'a une demi-heure. Et pour lui envoyer un message en plein milieu du dimanche pour lui dire qu'il avait raison et qu'il neigeait effectivement. Punaise. Diantre. Je suis atteinte.
Et elle dit : accro mais pas amoureuse... :)

Faut que je l'évite, M. IP. Ne plus me mettre à côté de lui en anglais. Juste le saluer, pour ne pas devenir "malpolie". De toute façon, cela ne changera rien. Cette fois, même Kenobi n'y verra rien. En même temps, j'évite (lapsus révélateur...) j'hésite. Je veux lui montrer que je suis insensible, qu'il ne sache pas que cela me (m'a ?) fait chier au possible. Cette première réaction, instinctive, a pour prétexte le fait de le ménager. Mais (j'y pense alors que j'écris ces mots) c'est peut-être de la fierté et de l'orgueil mal placé. J'en ai acquis beaucoup, et en très peu de temps. Je veux pas qu'il se mette (lui aussi) à me prendre pour une conne. Parce que je ne le suis pas. (Merci, mes chevilles vont bien.)

Retour sur cette histoire de SMS avec le sportif, c'est pas très clair. J'ai eu son numéro vendredi 1ère heure d'espagnol, et je lui envoie un SMS 2ème heure de philo (genre "T'endors pas" ou "Courage, reste plus qu'une demi-heure" (sous-entendu "et t'as fini")). Et samedi matin, avant d'entrer dans le lycée pour quatre heures de torture, je le retrouve frigorifié devant le lycée, et il m'annonce qu'il va neiger ce week-end. Lorsque cette après-midi, je constate qu'il neige, je ne peux m'empêcher de penser à lui et de lui envoyer un SMS pour lui dire qu'il avait raison.

Extrait d'une lettre destinée à Elle. Je trouve qu'elle reflète bien ce que je ressens. Et en plus, elle m'épargne le besoin de faire un article. Mais un jour, il va falloir que j'explicite toutes mes relations, rien que pour ceux qui me lisent.

Basically, I wish that you loved me.

Dimanche 9 novembre 2008


Les paroles sont... ce que j'aurais voulu savoir lui dire.
 
All I know is that you're so nice,
You're the nicest thing I've seen.
I wish that we could give it a go,
See if we could be something.

I wish I was your favourite girl,
I wish you thought I was the reason you are in the world.
I wish I was your favourite smile,
I wish the way that I dressed was your favourite kind of style.

I wish you couldn't figure me out,
But you always wanna know what I was about.
I wish you'd hold my hand when I was upset,
I wish you'd never forget the look on my face when we first met.

I wish you had a favourite beauty spot that you loved secretly,
'Cos it was on a hidden bit that nobody else could see.
Basically, I wish that you loved me,
I wish that you needed me,
I wish that you knew when I said two sugars, actually I meant three.

I wish that without me your heart would break,
I wish that without me you'd be spending the rest of your nights awake.
I wish that without me you couldn't eat,
I wish I was the last thing on your mind before you went to sleep.

All I know is that you're the nicest thing I've ever seen
I wish that we could see if we could be something.

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