Goddamn
I miss that girl...



Je sais que cet article vient en retard, beaucoup trop en retard, mais j'ai besoin de consigner cette dernière semaine, m'en souvenir pour de vrai, voir que oui, je sais vivre, encore ! Il est pour moi, cet article, parce que je me doute bien que cela n'intéresse pas grand-monde :).
Oui, cet article est enthousiaste, très mal écrit (et c'est un euphémisme, un gamin de 6 ans aurait mieux fait), avec trop de points d'exclamation, mais je l'aime, parce qu'il reflète ce qui a été, pour moi, une semaine de rêve.
Une semaine comme je les aime, et comme je voudrais que ma vie se déroule. Pleine d'activités, pleine d'amis, pleine de sourires, pleine de rires, pleine d'espoir.
Je les aime tous, ceux qui ont passé cette semaine avec moi. Pas de mention spéciale, mon cœur déborde d'amour et d'affection.

Lundi 21 juin : Fête de la musique ! 20h30, on quitte le lycée (une demi-heure en retard), alors que toute la classe s'est donné rendez-vous, chacun finit avec son "groupe" habituel. Le Cerveau, surtout, devient le centre de notre attention (il n'a que des filles autour de lui)... Quais de Seine, révélations coquines (ou pas) et personnelles (j'ai vraiment fait plein de conneries dans ma prime jeunesse fougueuse...), et dodo à 3h30 du matin (geeeek) (donc, un peu moins de quatre heures de sommeil, je dirais 3h30 mais je ne veux pas effrayer). Le lendemain fut difficile, en effet, les mathématiques m'ont un peu fatiguée.

Mardi 22 juin : Soirée supposée être dansante avec une Mad' et sa copine, donc dîner préalable (salade, c'est moins lourd que le reste), puis nous allons du côté de chez moi pour la soirée. La soirée ne nous tente pas, le bar est très sombre et aucun bruit ne sort, nous supposons également que c'est le genre de bar où la conso' est à 10 euros et quelque, bref, non ! Par la suite, quais de Seine et on boit un Coca' tout en critiquant tous les couples devant nous (des tonnes !). Ce fut bien drôle, et vraiment sympathique ! Ensuite, parvis de Notre-Dame, nous regardons (comme un film) des personnes jouer avec le feu, woah! Après, je vais au Monop' acheter à manger, une bouteille d'eau gazeuse rose (<3), du yaourt à boire qui vient de la ferme, et un peu à manger pour Voisine.

Mercredi 23 juin : Après une dizaine de mois sans le voir, peut-être un an même, je retrouve enfin F. ! <3 J'ai l'air d'une fille totalement folle, mais c'est vrai, je suis terriblement heureuse. Je n'explique pas mon amitié pour lui, elle est là et c'est tout. 15h30 à Nation, nous décidons d'aller voir les oraux de l'ESCP (une école de commerce). L'oral de mathématiques est très moyen, il faut l'avouer (même qu'on mettrait 3 à la demoiselle, c'est pour dire !), et l'anglais est pas mal (un texte apparemment très difficile et décousu sur les jouets Happy Meal à DoMac).
En soirée, dîner de classe organisé chez une camarade, mais avec les grèves de transport, j'abandonne. Je refuse de mettre 50 euros dans un taxi, et je ne veux pas dormir chez elle. Je mets déjà beaucoup trop de temps pour revenir au lycée, depuis l'ESCP... À la place, je souhaitais voir Kiss & Kill, il n'est diffusé nulle part dans les cinémas proches de chez moi, donc je regarde À bout de souffle de Godard. Et j'aime énormément ! L'actrice est une merveille, fort accent étranger (ça me fait toujours fondre) et elle est très belle. Voisine rentre d'un galant rendez-vous, et me conte ce que le garçon a dit, c'est épique ! (Après l'avoir embrassée (c'était pour lui le premier baiser), le charmant garçon dit « Mais c'est nul ! » ou un truc du genre.)

Jeudi 24 juin : C'est une journée différente de mes prévisions, très différente. Pas de verre, ni de cinéma, mais un déjeuner avec deux personnes, un garçon que je vois finalement assez régulièrement et une fille qui ne faisait pas particulièrement partie de mes proches amies. C'est détendu, comme nos états d'esprit ! Nous avons pénétré dans les locaux de Descartes ! Et le garçon vient avec moi dans le lycée, les camarades de classe crient à l'intrus (ce qui me fait sourire !), ils font un planning pour le prochain WE d'inté'.
Dernier cours de l'année, français, 14h30 - 16h, j'écris des SMS à D. (je m'en souviens car je voulais tuer celui qui parlait), et après le cours, direction jardin du Luxembourg, ça fait du bien de se poser avec un livre de mythologie gréco-latine et de s'informer. J'adore ces après-midi paisibles avec deux filles paisibles !
Le soir, j'avais prévu de dîner avec Le Cerveau (qui est passé dans ma chambre chercher sa bouteille d'alcool, hum). Voisine arrive finalement, ils jouent tous les deux au ballon, puis Le Cerveau dîne finalement avec son papa ! Comme je ne veux pas gâcher ma soirée, sur un coup de tête, c'est l'ascension de l'Arc de Triomphe, avec une autre copine. Pas si fatiguant, à vrai dire ! J'aime beaucoup la vie qu'on peut avoir du haut, on voit même notre lycée (enfin, c'est probablement le coin de notre lycée, à vrai dire) !

Vendredi 25 juin : Déjeuner avec deux Poulettes, deux Mad' ! Fast-food bien sûr, autant que ce soit gras hein ! C'est drôle et léger, j'adore ces filles ! Je me lève vers 10 heures, comme une fleur, glande dans mon lit, et à 11h, je me dis qu'il est peut-être temps de partir. Le train arrive à 15, je ne veux pas le louper, je l'ai eu ! :D
En soirée, cinéma avec Voisine, on devait voir Kiss & Kill (j'en avais tellement envie !), mais toujours ce problème, il ne passe dans aucun des cinémas du côté de chez moi. o_O (Quoi, Ashton est trop superficiel pour vous ?) Alors, nous nous rabattons sur L'Arnacœur ! Génial, ce film ! Et puis, Romain Duris peut être beau comme il peut être moyen, je trouve, et c'est typiquement ce qui me plaît chez lui (cherchez l'erreur...) ! Par contre, cette fin... bouh ! Nul !
Retour tardif à la maison. Ça y est, LLG, c'est fini pour cette année. Pincement au cœur, oui... Chambre vide, bizarre.

Samedi 26 juin : Point d'orgue... Journée longue, longue ! Matinée chez le médecin, pour un certificat scolaire stupide, c'est une remplaçante, je l'aime bien ! Cours de harpe, mon examen est enfin programmé, je suis heureuse ! J'avais très envie de le passer ; maintenant, il ne manque plus que les autres œuvres. J'ai une Nocturne de Glinka au programme, je sens que je vais la détester (le rythme est dégueulasse, je l'avais tenté trois ou quatre ans plus tôt...) !
Ensuite, je vois un ami, qui n'a pas de surnom parce que finalement, j'en parle peu, on discute pendant une heure, c'est super de le voir ! Je ne savais plus trop comment nous nous étions connus, apparemment par une personne que nous connaissions en commun et à qui nous ne parlons plus du tout... du tout. C'est drôle comme situation ! Ce mec est futur étudiant en prépa' ! (Il a eu son bac' mention B, je suis conteeente !)
Vers 16h30, je sors de chez moi, je prends le bus et je vais vers D., pour un cinéma. Dog Pound, un film génial, et une excellente après-midi, je me sens légère et j'ai beaucoup apprécié (hum) sa présence ! Il me fait rire, c'est agréable.
Je marche une demi-heure pour arriver à l'hôtel où deux amies et moi (celles avec qui je fais ce genre de soirées au moins deux fois par an !), allons passer la nuit ! Nous dînons dans un restaurant de chaîne de grillades, dont la couleur dominante est le rouge, pas la Paille mais l'autre, et un dessert pour trois ! Le burger fut énorme. Dans la chambre, les chips sont là, le chocolat aussi, les films bien sûr (Pénélope et Confessions d'une accro au shopping !), sans oublier l'alcool ! Le Martini rosato, il est pour moi. Et la vodka aussi. (J'me sens pochtronne, là...)
Le lendemain, téléphone à Papa pour qu'il nous ramène (et nous épargne une heure au moins de trajet) ! Une douche, enfiiiin, c'est le revival là ! ^^

Vous n'aurez pas le reste, je ne sais plus s'il est intéressant. Je crois que non...
We're living in a den of thieves
Rummaging for answers in the pages
We're living in a den of thieves
And it's contagious...


01:15. Vendredi 18 juin.
Madness est dans son lit et ce qui est sûr, c'est qu'elle a des tonnes de choses à dire, parce que sa journée du jeudi fut monumentalement chargée.

La veille, à la même heure, elle était bourrée. Non, pas bourrée genre bourrée, mais du genre le crâne qui menace d'exploser et les très légères nausées. Ah, l'alcool et la fatigue, très mauvais ménage ! Son réveil ne la réveille pas, et à 07h45, elle se lève pour aller en cours de maths (cinq minutes pour se brosser les dents, s'habiller et attraper le sac de cours). ( Et là, elle en a marre d'écrire à la troisième personne. )
Cours de philo', je discute avec Frérot (un tout petit peu). Je me rends compte que durant le mois de juin (genre, en 15 jours), j'ai dépensé 300 euros. Ouch.
Le midi, je déjeune avec K., ce qui me fait du bien. J'ai dit que c'était ma plus belle rencontre masculine de la classe ? Rester avec lui, ça me fait vraiment du bien, rien de plus, rien de moins. Un ami, quoi.
D. m'envoie un message à 13h pour me demander comment je vais... Ce n'est pas moi qui vais au lycée pour passer le bac', coco ! Je lui donne quelques conseils méthodo'.
Après-midi, dernière khôlle de l'année, entretiens de personnalité ! Apparemment, ça ne va pas. Tant pis. Je suis contente de l'avoir passé, déçue de ma prestation. C'est toujours pareil, quand on me pose une question je ne sais pas comment répondre mais dès qu'on passe à autre chose, j'ai des idées plein la tête. Je ne me connais même pas. Pfff.
18h30, on sort manger une glace, j'aperçois vaguement que j'ai un colis. Après la glace, sushis (oui, on fait dans le désordre, c'est classe). Je rentre récupérer mon colis, je remarque tout de suite que c'est le loup (<3) ! Qui habite à Maisons-Alfort, hein ? J'ouvre un peu fébrilement, je lis la superbe lettre qu'il m'a écrit et j'ouvre doucement le papier du DVD... :D C'est Les Chansons d'amour ! Juste un de mes films préférés, quoi.
Une fois dans ma chambre, téléphone à Cousin et à Frérot. Maman est énervée contre moi parce que je ne suis pas rentrée le WE dernier (mais ça, je le savais déjà) et parce que je veux rester le dernier WE (ouais, c'est ça).
21h45, je sors du lycée pour 40 minutes de course. J'apprends que la France perd. Bouh.
23h30, douche. L'eau est froide, merci bien ! u___u

02:00. Après un gros glandage sur un forum, Madness est prête pour aller se coucher.
Ce fut le récit d'une longue journée. Espérons que celle de demain sera aussi géniale ! =D

Ils ne m'auront pas.

Vendredi 11 juin 2010

Jamais, jamais, je n'accepterai de me faire renvoyer de LLG.

J'ai mes raisons, vous verrez. J'ai beau être assez proche du nul et racler les fonds de classement depuis un certain temps, pourtant, et vous le savez, j'ai eu une poussée légère partout en 2ème trimestre, sauf en maths. Je me sens bien dans la classe, et c'est nécessaire. Je me sens particulièrement proche de personnes relativement discrètes, et j'ai mes alliés par ici, des personnes qui m'aident et qui m'aiment. Et puis, l'année prochaine, je prendrai des cours particuliers de maths, je me défoncerai pour avoir plus de 4 en maths (si madame, c'est possible, vous verrez), et même si je n'ai pas HEC, j'aurais mon école, et je m'en balance total de vos statistiques (sauf que la dernière partie de la phrase, je ne vous la dirai pas). Je suis partie de très bas, vous savez. Je ne suis pas comme ces élèves dont les parents ont fait de longues études et sont allés à HEC ou à Polytechnique. Je ne suis pas stupide, je sais très bien que je ne fais pas partie de cette élite aisée financièrement. Mais je m'en sors, j'accepte d'être celle que je suis. J'ai mes rêves aussi, et être acceptée ici en était un, finalement. J'ai conscience de ne pas m'être battue, d'avoir abandonné très vite. J'ai aussi conscience d'avoir été à côté de moi tout ce dernier trimestre. Mais faites-moi confiance, je vous en prie !

( Faut que j'apprenne ce discours par cœur. )
Franchement, je prends sur mon temps de midi pour vous laisser des larmes.
Si c'est pas atroce, ça... (Atroce de vous laisser des malheurs. C'est connu, on n'aime que le bonheur, lire le bonheur des autres. Quand c'est le cas, on se sent pris soi-même d'une allégresse, en général. Et lire les malheurs des autres, ça me donne envie de les buter ou juste de leur faire un câlin, un bisou, voire d'être malheureuse moi-même.)

Avertissement : ne lisez pas si vous êtes futur préparationnaire.

Donc, ce qui va suivre, ce ne sont que des larmes.
Parce que je sais que globalement, je suis heureuse. C'est vrai, j'ai une famille qui me soutient et dont je suis folle, j'ai des amis (ou pas) qui savent (plus ou moins) être présents, je fais des études, mes études qui me tuent.
The point is here: mes études me tuent. Et j'ai envie d'en parler, de me souvenir, de me dire plus tard que je n'avais même pas vécu la deuxième année, ou bien plus tard, que ce n'était décidément pas grand-chose.
Mais si, c'est beaucoup. La prépa', c'est toute ma vie.

Depuis que je suis en prépa', j'ai bien plus pleuré que durant toute ma vie (j'vous jure). Les trois dernières fois que j'ai pleuré, c'était à cause de la prépa'. Je ne vais pas vous mentir, la prépa' a le don de titiller les glandes lacrymales d'une manière douloureuse et incontrôlée. Surtout qu'en vérité, non, je ne sais pas pourquoi je pleure.
Ma dernière crise vient d'avoir lieu (en classe, devant une amie, c'est drôle), l'avant-dernière était vendredi (avec Elle_), et l'antépénultième avait eu lieu alors que j'étais dans mon lit, en train de lire l'actualité (un article quelconque sur la Chine, qui ne me touche pas personnellement), alors qu'Elle_ venait de rentrer et de me demander si ça allait (heureusement que je pleurais silencieusement). Je daterais ça de mi-mai (à cause de l'article que je lisais).

Vous pouvez recommencer à lire sans trop de dommages, je crois.

Bref, finalement, je n'ai pas le mental pour vivre une prépa'. Mais comme c'est toute ma vie, je m'accrocherai.
Ils vont voir ce qu'ils vont voir.
Je n'ai pas le droit d'abandonner, je n'ai même pas envie d'abandonner. Je veux prouver que je suis capable d'avoir plus de 4 en maths, que je suis capable de trouver un problème, que je sais raisonner philosophiquement. Je veux me montrer à nouveau que je peux m'aimer, que je suis capable de faire de "grandes" choses, que je peux être fière de la personne que je suis (et des efforts que je fais).

Je veux retrouver mon ancienne moi. Arrêter de lâcher prise inconsciemment parce que je pense ne pas être assez douée. C'est ça, le premier pas du défaitisme, se croire trop faible ! Je veux retrouver l'optimiste que j'étais, la volubile que j'étais, la passionnée que j'étais. Tout ce qui me plaisait en moi, qui faisait que je ne me sentais pas nulle et dépassée.

Je vais me bouger, parce que je vaux mieux que la loque dont j'ai honte. Je vaux mieux que la petite fille qui pleure parce qu'elle n'a pas tout ce qu'elle veut. Qui a dit que la vie était facile ? Ma vie est déjà assez facile comme ça, je ne peux pas attendre que tout me tombe dessus si je ne fais pas d'efforts. Je vaux mieux que ce que je suis à l'instant présent.

(Sinon, je ne dors plus beaucoup en ce moment. Deux semaines de sommeil entre 5 et 6 heures. Ce sont les nuits de 6 heures qui m'épuisent le plus, je peux soutenir les nuits de 5 heures plus facilement.)
(Ni Darling, ni A. n'ont donné signe de vie après mes e-mails. J'ai mal.)
(J'écoute The Killers, et ça me redonne un peu de pêche.)

And I know I was wrong
When I said it was true
That it couldn't be me and be her
Inbetween without you
Without you...


Une des meilleures chansons du groupe !

Enfin, journée finie !
Sujet d'HGG : "Les enjeux des innovations techniques et scientifiques dans l'organisation et le développement du monde aujourd'hui". Je déteste, on n'a rien vu dessus - sinon c'est pas drôle -, et il est passé à HEC en 2006. WTF?
[Plus que la philo' et les langues, sachant que j'ai eu 7,5 en philo' la dernière fois...]

Le titre est vrai, c'est tout. C'était un de mes plaisirs de la journée, avec ceux qui vont suivre.

Déjà, Federer a perdu contre Söderling. Alors oui, Söder' a mieux joué, et tout ça, je ne le nie pas, c'est un grand joueur, mais juste, je ne l'aime pas en tant que personne.
Je veux que Nole gagne VS. Rafa parce que je suis "amoureuse" de Nole. Quand même. Et j'veux aussi que Berdych gagne contre Söderling, ce qui est plus improbable tout de même. J'ai le droit de rêver, non ? :)
Ça, c'était une autre déception, hein.

Plaisir numéro 1 : j'ai rempli 50% de ma feuille au DS de maths. Ce qui est beaucoup pour moi, même si je n'ai pas touché à l'exercice 1 (je ne l'ai pas compris) et n'ai fait le 2 qu'à moitié (ou quart ?), et le problème, ben le problème quoi !
Hier c'était un ESSEC 2009, aujourd'hui un EM Lyon. En gros, deuxième et quatrième école de commerce de France.

Plaisir numéro 2 : j'ai regardé Sept vies et j'ai pensé à J. 
Plaisir numéro 3 : je discute amicalement avec un ami de mon frère, il est super gentil et je l'adore ce p'tit bout !
Plaisir numéro 4 : ouvrir la fenêtre, entendre le bruit de la pluie et sentir la fraîcheur de la nuit tout en se brossant les dents. Si, j'vous jure.

http://madness.of.love.cowblog.fr/images/MarkoDjokovic.jpgLast but not least:
Look at hiiiim !

Tu me dis que ce mec est MOCHE, je te tue. Virtuellement. C'est juste l'un des plus beaux mecs que j'ai vu ces derniers jours en photo' (avec Quentin Mosimann mais ça, c'est juste autre chose ; on voit bien que je commence à souffrir).

Indice : il est serbe.

Joli garçon, je t'aime, et cette semaine, tu es mon mari.

[J'inaugurerai la catégorie 'BG' dans quelques jours, j'ai à peine le temps pour faire des articles convenables déjà, sauf à prendre sur mon temps de sommeil...]

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